Pour certains êtres, la peinture est une nécessité, la seule expression possible, le bonheur et la liberté, le travail et le passe-temps. Denise Schleret faisait partie de cette famille. D'origine alsacienne par ses parents, elle a vécu à Paris pendant une trentaine d'années. Elle se destinait à devenir professeur de dessin mais son mari, Albert Schleret, un passionné d'art, la pousse à peindre. Elle ne se fait pas prier et trouve son bonheur. « À Paris, je m'installais sur les trottoirs, les escaliers. Je peins toujours sur place, il me faut l'émotion des lieux », explique cette ancienne élève des beaux-arts. Très éclectique, Denise Schléret se promène dans tous les styles et dans tous les domaines, huiles, fusains, gouaches avec une prédilection pour les aquarelles. Depuis vingt ans elle avait trouvé refuge dans l'illustre maison de la Tichkewa où elle a aménagé un atelier et une galerie de peinture. Calme, chaleureux et lumineux cet antre pictural ressemble à sa propriétaire mais abrite également les œuvres de sa fille Isabelle Braütigam.
Pour certains êtres, la peinture est une nécessité, la seule expression possible, le bonheur et la liberté, le travail et le passe-temps. Denise Schleret faisait partie de cette famille. D'origine alsacienne par ses parents, elle a vécu à Paris pendant une trentaine d'années. Elle se destinait à devenir professeur de dessin mais son mari, Albert Schleret, un passionné d'art, la pousse à peindre. Elle ne se fait pas prier et trouve son bonheur. « À Paris, je m'installais sur les trottoirs, les escaliers. Je peins toujours sur place, il me faut l'émotion des lieux », explique cette ancienne élève des beaux-arts. Très éclectique, Denise Schléret se promène dans tous les styles et dans tous les domaines, huiles, fusains, gouaches avec une prédilection pour les aquarelles. Depuis vingt ans elle avait trouvé refuge dans l'illustre maison de la Tichkewa où elle a aménagé un atelier et une galerie de peinture. Calme, chaleureux et lumineux cet antre pictural ressemble à sa propriétaire mais abrite également les œuvres de sa fille Isabelle Braütigam.
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Enigme M+S (L')
