Née à un très jeune âge de parents babas cool en 1975, Emma Tissier a grandi (pas beaucoup : 153,50 cm) à Toulouse. Championne de France de rock acrobatique à deux reprises lorsque elle était ado, elle se voyait devenir dentiste. Mais cela impliquait de longues et pénibles études. Alors, elle a plutôt choisi d'exploiter ses talents naturels, qu'elle suppose héréditaires. La pratique aidant au perfectionnement, une fois débarrassée du bac, elle a étudié les arts appliqués, puis la mode au studio Berçot, à Paris. Évidemment, et comme rien ne se passe jamais comme prévu, elle est devenue graphiste pour la pub. Puis la nature a retrouvé ses droits : elle dessine, tout en vivant paisiblement à bord d'un bateau, sur le canal du Midi, entourée de hippies. En 2018, elle publie avec Lucile Gorce "Rien ne se passe jamais comme prévu" (Dargaud, 2018) qui relate le parcours du combattant d'une femme qui souhaite fonder une famille. Son dessin stylé et lâché s'empare de ce sujet très féminin et évoque le blog de Margaux Motin ("La Tectonique des plaques").
Texte © Dargaud
Née à un très jeune âge de parents babas cool en 1975, Emma Tissier a grandi (pas beaucoup : 153,50 cm) à Toulouse. Championne de France de rock acrobatique à deux reprises lorsque elle était ado, elle se voyait devenir dentiste. Mais cela impliquait de longues et pénibles études. Alors, elle a plutôt choisi d'exploiter ses talents naturels, qu'elle suppose héréditaires. La pratique aidant au perfectionnement, une fois débarrassée du bac, elle a étudié les arts appliqués, puis la mode au studio Berçot, à Paris. Évidemment, et comme rien ne se passe jamais comme prévu, elle est devenue graphiste pour la pub. Puis la nature a retrouvé ses droits : elle dessine, tout en vivant paisiblement à bord d'un bateau, sur le canal du Midi, entourée de hippies. En 2018, elle publie avec Lucile Gorce "Rien ne se passe jamais comme prévu" (Dargaud, 2018) qui relate le parcours du combattant d'une femme qui souhaite fonder une famille. Son dessin stylé et lâché s'empare de ce sujet très féminin et évoque le blog de Margaux Motin ("La Tectonique des plaques").
Texte © Dargaud