Née le jour de jour de la démission de Mikhaïl Gorbatchev, qui signa ainsi la fin de l’U.R.S.S., Lucille Calame a grandi abreuvée de pop culture, et entourée de BD et romans graphiques en tous genres. C’est donc très naturellement qu’elle s’engagea dans des études qui… n’avaient absolument rien à voir avec la bande dessinée. Malgré cela, son appétence pour les bons mots, la littérature, les langues vivantes et l’orthographe (les dictées de Bernard Pivot et de Mamie Christiane chaque été), l’ont inévitablement amenée vers l’univers de la traduction.
Née le jour de jour de la démission de Mikhaïl Gorbatchev, qui signa ainsi la fin de l’U.R.S.S., Lucille Calame a grandi abreuvée de pop culture, et entourée de BD et romans graphiques en tous genres. C’est donc très naturellement qu’elle s’engagea dans des études qui… n’avaient absolument rien à voir avec la bande dessinée. Malgré cela, son appétence pour les bons mots, la littérature, les langues vivantes et l’orthographe (les dictées de Bernard Pivot et de Mamie Christiane chaque été), l’ont inévitablement amenée vers l’univers de la traduction.