Née en 1987 à Soissons, Amélie Fontaine entre aux Arts Décoratifs de Paris où elle apprend la gravure et la sérigraphie après des études de graphisme. Son travail prend la forme d’inventaire compulsif voire obsessionnel : œufs, flûtes, fromages, jeux pour chats, bateaux chips, pastèques, insectes, récifs, méduses… Tout y passe. Mais Amélie Fontaine n’a pas qu’une corde à son arc et le repertoriage n’est pas son unique dada. Le coup de crayon ou de feutre d’Amélie Fontaine est vif, il dissèque tout, perché sur un style fourmillant, multiple. Parfois des crayonnés noir et blanc, des jungles aux feutres, parfois des espaces architecturaux abandonnées mais remplis de motifs. Justement, le motif. Toujours travaillé, singulier, fin, il habille ses dessins et leur apporte ce qui fait le plus d’Amélie Fontaine. Présente un peu partout, tant dans la presse pour adulte et enfants (Le Monde, Libération, Feuilleton, NY Times, Télérama, Influencia, Revue Citrus, Je Bouquine, Dada..), que dans la littérature jeunesse, Amélie Fontaine illustrait cette année un livre jeunesse de circonstance, Planète Migrants, écrit par Sophie Lamoureux. Un livre documentaire qui « propose un rappel historique de ce phénomène et détaille les questions et enjeux actuels auxquels les pays développés doivent répondre ». Une artiste qui choisit bien ses projets donc.
Née en 1987 à Soissons, Amélie Fontaine entre aux Arts Décoratifs de Paris où elle apprend la gravure et la sérigraphie après des études de graphisme. Son travail prend la forme d’inventaire compulsif voire obsessionnel : œufs, flûtes, fromages, jeux pour chats, bateaux chips, pastèques, insectes, récifs, méduses… Tout y passe. Mais Amélie Fontaine n’a pas qu’une corde à son arc et le repertoriage n’est pas son unique dada. Le coup de crayon ou de feutre d’Amélie Fontaine est vif, il dissèque tout, perché sur un style fourmillant, multiple. Parfois des crayonnés noir et blanc, des jungles aux feutres, parfois des espaces architecturaux abandonnées mais remplis de motifs. Justement, le motif. Toujours travaillé, singulier, fin, il habille ses dessins et leur apporte ce qui fait le plus d’Amélie Fontaine. Présente un peu partout, tant dans la presse pour adulte et enfants (Le Monde, Libération, Feuilleton, NY Times, Télérama, Influencia, Revue Citrus, Je Bouquine, Dada..), que dans la littérature jeunesse, Amélie Fontaine illustrait cette année un livre jeunesse de circonstance, Planète Migrants, écrit par Sophie Lamoureux. Un livre documentaire qui « propose un rappel historique de ce phénomène et détaille les questions et enjeux actuels auxquels les pays développés doivent répondre ». Une artiste qui choisit bien ses projets donc.