Photo © Korri
Steven Lejeune est né le 1er janvier 1981 à Tahiti. Une bonne dose de Club Dorothée, une pincée de Fluide Glacial, un livre-culte, Gunnm, et le résultat est un dessinateur talentueux qui risque, au grand dam des méchants, de nettoyer la surface de la Terre. Sans sombrer dans un militantisme rébarbatif, Lejeune se dit particulièrement concerné par les problèmes d'environnement. Est-ce le fait d'être né dans une île paradisiaque ? Ou bien celui de faire partie d'une génération qui vit sous la coupe d'un environnement à la dérive ? Toujours est-il que ce jeune dessinateur est bien décidé à utiliser la BD commme outil de communication pour amorcer une réflexion chez les lecteurs du 9e art. C'est d'ailleurs Dominique Latil de l'atelier Gottferdom d'Aix où il traînait régulièrement ses crayons aux côtés d'Arleston et de Jo Diaz, qui le met en relation avec Jean David Morvan. L'avantage, c'est qu'avec un tel complice qui partage vos opinions, mélanger BD "grand public" et pensées évolutives devient un véritable bonheur ! Côté influences, génération mangas oblige, Steven Lejeune se reconnaît dans Totoro ou encore Akira, aux découpages aussi rythmés que les musiques sur lesquelles il dessine, à savoir, Sepultura, Tool ou les Dust Brothers.
Texte © Delcourt
Photo © Korri
Steven Lejeune est né le 1er janvier 1981 à Tahiti. Une bonne dose de Club Dorothée, une pincée de Fluide Glacial, un livre-culte, Gunnm, et le résultat est un dessinateur talentueux qui risque, au grand dam des méchants, de nettoyer la surface de la Terre. Sans sombrer dans un militantisme rébarbatif, Lejeune se dit particulièrement concerné par les problèmes d'environnement. Est-ce le fait d'être né dans une île paradisiaque ? Ou bien celui de faire partie d'une génération qui vit sous la coupe d'un environnement à la dérive ? Toujours est-il que ce jeune dessinateur est bien décidé à utiliser la BD commme outil de communication pour amorcer une réflexion chez les lecteurs du 9e art. C'est d'ailleurs Dominique Latil de l'atelier Gottferdom d'Aix où il traînait régulièrement ses crayons aux côtés d'Arleston et de Jo Diaz, qui le met en relation avec Jean David Morvan. L'avantage, c'est qu'avec un tel complice qui partage vos opinions, mélanger BD "grand public" et pensées évolutives devient un véritable bonheur ! Côté influences, génération mangas oblige, Steven Lejeune se reconnaît dans Totoro ou encore Akira, aux découpages aussi rythmés que les musiques sur lesquelles il dessine, à savoir, Sepultura, Tool ou les Dust Brothers.
Texte © Delcourt