Roux Pierre : « Celle-ci a pris son sens quand je me suis aperçu que les marges des cahiers d'école n'étaient pas réservées qu'aux notes de mes instituteurs... je faisais des petits dessins, le plus souvent humoristiques, parfois trash, souvent teintés de cow-boys... de temps en temps de courtes BD. Ensuite, je suis passé à mes petites histoires au stylo-bille sur des cahiers à carreaux. Bref : je serai dessinateur ! Après l'école de dessin publicitaire Brassart (Tours), je pars à l'assaut de la capitale où j'ai eu la chance de travailler comme « story-board artist » pour les plus grandes agences de pub, Publicis, Havas, Grey et bien d'autres boîtes de prod pour des moyens et long-métrages dont le dernier, « Fever », avec Alban Coret... plus un peu de dessin de presse. Ensuite, ma route a croisé celle de l'énigmatique et non moins brillant David Verdier, scénariste et auteur de haut talent (il marche très bien avec !) et... eh ben, ça a donné une BD qui empeste le Grand Prix ! »
Roux Pierre : « Celle-ci a pris son sens quand je me suis aperçu que les marges des cahiers d'école n'étaient pas réservées qu'aux notes de mes instituteurs... je faisais des petits dessins, le plus souvent humoristiques, parfois trash, souvent teintés de cow-boys... de temps en temps de courtes BD. Ensuite, je suis passé à mes petites histoires au stylo-bille sur des cahiers à carreaux. Bref : je serai dessinateur ! Après l'école de dessin publicitaire Brassart (Tours), je pars à l'assaut de la capitale où j'ai eu la chance de travailler comme « story-board artist » pour les plus grandes agences de pub, Publicis, Havas, Grey et bien d'autres boîtes de prod pour des moyens et long-métrages dont le dernier, « Fever », avec Alban Coret... plus un peu de dessin de presse. Ensuite, ma route a croisé celle de l'énigmatique et non moins brillant David Verdier, scénariste et auteur de haut talent (il marche très bien avec !) et... eh ben, ça a donné une BD qui empeste le Grand Prix ! »