Il gribouille sous le pseudonyme de Visant (Vincent en breton, rien d'ésotérique). Né au siècle dernier, au temps que les moins d’un certain âge ne peuvent pas connaître, bien fait ! Après une enfance perturbée - composée de pantalons marron en velours côtelé moches, de pop-rock anglaise, de lectures déviantes et de longs soins psycho-thérapeutiques aussi exorbitants qu’inefficaces - il décide de me lancer dans une voie artistique. Une fois en âge d’être pleinement responsable de ses dettes, il devint graphiste. Après avoir longtemps dessiné pour faire rire ses amiEs dérangéEs, il réussit finalement à atteindre la consécration absolue comme dessinateur de presse pour Rue89 Bordeaux, sous les applaudissements frénétiques de la population d'une bourgade de Lettonie, c’est un début. Il est également directeur artistique, illustrateur, calligraphe, psychiatre pour chat et je m’adonne à titre purement ludique à l’empaillage d’énarques vivants.
Texte © Auteur
Il gribouille sous le pseudonyme de Visant (Vincent en breton, rien d'ésotérique). Né au siècle dernier, au temps que les moins d’un certain âge ne peuvent pas connaître, bien fait ! Après une enfance perturbée - composée de pantalons marron en velours côtelé moches, de pop-rock anglaise, de lectures déviantes et de longs soins psycho-thérapeutiques aussi exorbitants qu’inefficaces - il décide de me lancer dans une voie artistique. Une fois en âge d’être pleinement responsable de ses dettes, il devint graphiste. Après avoir longtemps dessiné pour faire rire ses amiEs dérangéEs, il réussit finalement à atteindre la consécration absolue comme dessinateur de presse pour Rue89 Bordeaux, sous les applaudissements frénétiques de la population d'une bourgade de Lettonie, c’est un début. Il est également directeur artistique, illustrateur, calligraphe, psychiatre pour chat et je m’adonne à titre purement ludique à l’empaillage d’énarques vivants.
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