Il s'appelle Bruno Congar, il est né en 1956, c'est l'auteur. Il est diplômé des Arts décoratifs, il dessine des B.D., il est également graphiste, illustrateur à ses heures. C'est dire qu'il n'a aucune vocation particulière à écrire un roman ! Ce n'est pas ça qui l'a arrêté, au contraire ! Un peu comme les peintres contemporains qui se lancent dans une toile sans savoir tenir un pinceau !.. Le résultat est ce "Pont Tournant", qui ne tourne décidément pas rond et fait tourner le lecteur en bourrique. Pour faire très tendance, Congar s'amuse à écrire des chapitres sans le moindre lien entre eux. Chaque chapitre commence par "je", c'est écrit à la première personne, sauf que ce n'est jamais la même personne qui parle ! Au fur et à mesure des pages (il y en a tout de même près de 300 dans ce pavé logomachique), chacun dit son mot, narre ses petites occupations diverses et quotidiennes, en les mêlant de réminiscences d'un passé plus ou moins douloureux et traumatisant ! Il paraît que c'est inspiré du roman noir américain... moi, je trouve que ça s'apparente plutôt une cacophonie embrouillée et sans grand intérêt... C'est le premier roman de Congar... Pourvu que ce soit aussi le dernier !... Ah oui, je dis un mot de l'histoire : une jeune fille, Cécile, est retrouvée morte dans les dunes du Touquet, au matin qui suit une sorte de "rave" : pendant tout le bouquin, chacun se demande qui a tué cette petite ! et chacun se soupçonne, s'épie ; c'est nul et sans le moindre suspense : beaucoup de pages pour rien !... Il me reste maintenant à faire ce que faisait Napoléon quand un bouquin l'emmerdait : il le jetait illico dans la cheminée, ou le lançait par la portière de son carrosse ! et hop, moi je le flanque à la poubelle... mais pas n'importe laquelle, la jaune, celle des papiers et emballages : Le Pont tournant finira recyclé. Faut être civique, tout de même !....
Il s'appelle Bruno Congar, il est né en 1956, c'est l'auteur. Il est diplômé des Arts décoratifs, il dessine des B.D., il est également graphiste, illustrateur à ses heures. C'est dire qu'il n'a aucune vocation particulière à écrire un roman ! Ce n'est pas ça qui l'a arrêté, au contraire ! Un peu comme les peintres contemporains qui se lancent dans une toile sans savoir tenir un pinceau !.. Le résultat est ce "Pont Tournant", qui ne tourne décidément pas rond et fait tourner le lecteur en bourrique. Pour faire très tendance, Congar s'amuse à écrire des chapitres sans le moindre lien entre eux. Chaque chapitre commence par "je", c'est écrit à la première personne, sauf que ce n'est jamais la même personne qui parle ! Au fur et à mesure des pages (il y en a tout de même près de 300 dans ce pavé logomachique), chacun dit son mot, narre ses petites occupations diverses et quotidiennes, en les mêlant de réminiscences d'un passé plus ou moins douloureux et traumatisant ! Il paraît que c'est inspiré du roman noir américain... moi, je trouve que ça s'apparente plutôt une cacophonie embrouillée et sans grand intérêt... C'est le premier roman de Congar... Pourvu que ce soit aussi le dernier !... Ah oui, je dis un mot de l'histoire : une jeune fille, Cécile, est retrouvée morte dans les dunes du Touquet, au matin qui suit une sorte de "rave" : pendant tout le bouquin, chacun se demande qui a tué cette petite ! et chacun se soupçonne, s'épie ; c'est nul et sans le moindre suspense : beaucoup de pages pour rien !... Il me reste maintenant à faire ce que faisait Napoléon quand un bouquin l'emmerdait : il le jetait illico dans la cheminée, ou le lançait par la portière de son carrosse ! et hop, moi je le flanque à la poubelle... mais pas n'importe laquelle, la jaune, celle des papiers et emballages : Le Pont tournant finira recyclé. Faut être civique, tout de même !....