Frédéric Sagot, artiste digital formé et forgé aux outils numériques, argue que les logiciels 3D, photo et vidéo sont des sublimateurs de médiums traditionnels. Ses œuvres sont empreintes de SF et portraits d’Heroïc fantasy, ses productions dénotent de sa fascination des mondes étranges de Giger, Bisley ou Ken Barthelemy. Né en 1976 à Poissy, il s’essaie très jeune au développement de jeux vidéos en langage basic avec son père – concepteur CAO – pour faire des jeux proches du mythique Pong. Portant peu d’intérêt à l’école, il recouvre frénétiquement ses cahiers de dessins au stylo bille de croquis et de personnages fantasmatiques qui vont intéresser ses professeurs de dessin, l’encourageant à poursuivre. Après un bac arts appliqués, et l’obtention d’un DNSEP Design objet aux Beaux Arts d’Orléans en 2002, c’est la découverte de la sculpture, de la maquette, du bois, du métal et toutes les techniques d’architecture qui paradoxalement vont le pousser non pas à la confrontation avec la matière, mais à regarder davantage celle-ci au travers du filtre de l’écran. Il travaille comme Graphiste et Illustrateur pendant 10 ans, et réalise une série de recherches personnelles sur le thème du transhumanisme et de l’évolution de l’homme notamment au travers d’une série intitulée « l’homme ne s’arrêtera jamais ». Il rejoint le collectif du Transhumanisme Heureux en 2015 et collabore à plusieurs projets collectifs.
Frédéric Sagot, artiste digital formé et forgé aux outils numériques, argue que les logiciels 3D, photo et vidéo sont des sublimateurs de médiums traditionnels. Ses œuvres sont empreintes de SF et portraits d’Heroïc fantasy, ses productions dénotent de sa fascination des mondes étranges de Giger, Bisley ou Ken Barthelemy. Né en 1976 à Poissy, il s’essaie très jeune au développement de jeux vidéos en langage basic avec son père – concepteur CAO – pour faire des jeux proches du mythique Pong. Portant peu d’intérêt à l’école, il recouvre frénétiquement ses cahiers de dessins au stylo bille de croquis et de personnages fantasmatiques qui vont intéresser ses professeurs de dessin, l’encourageant à poursuivre. Après un bac arts appliqués, et l’obtention d’un DNSEP Design objet aux Beaux Arts d’Orléans en 2002, c’est la découverte de la sculpture, de la maquette, du bois, du métal et toutes les techniques d’architecture qui paradoxalement vont le pousser non pas à la confrontation avec la matière, mais à regarder davantage celle-ci au travers du filtre de l’écran. Il travaille comme Graphiste et Illustrateur pendant 10 ans, et réalise une série de recherches personnelles sur le thème du transhumanisme et de l’évolution de l’homme notamment au travers d’une série intitulée « l’homme ne s’arrêtera jamais ». Il rejoint le collectif du Transhumanisme Heureux en 2015 et collabore à plusieurs projets collectifs.
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Ombre de Métal
