Sophie Dutertre née en 1965, compagnon de route d’artistes tels que Atak, ou encore Henning Wagenbreth, fait partie de la fulgurante génération des années 90. Mais bien avant de participer à cette Fontaine de Jouvence, du Renouveau de l’llustration à laquelle s’abreuve encore les jeunes et candides faons ou biches des écoles d’Art d’aujourd’hui, Sophie fut également étudiante. C’est lors de son passage aux Arts Décoratifs de Paris qu’elle découvrit la gravure et que, depuis, elle ne cesse d’en expérimenter les possibles. Avec cette technique, elle élabore des contes en apparence enfantins mais dotés d’un humour noir des plus décalés. Citons notamment Les Exploits de Bombilla, Le Monde à l’envers, (le Seuil), le Brassens (Mango), le Crime et la Ferme, (les 4 mers). Elle a mis également son talent au service des plus grands journaux de ce monde, comme Libération, Le Monde, ou le New-York Times. Le Premier bal d’Emma est sa première bande dessinée.
Texte © 2024
Sophie Dutertre née en 1965, compagnon de route d’artistes tels que Atak, ou encore Henning Wagenbreth, fait partie de la fulgurante génération des années 90. Mais bien avant de participer à cette Fontaine de Jouvence, du Renouveau de l’llustration à laquelle s’abreuve encore les jeunes et candides faons ou biches des écoles d’Art d’aujourd’hui, Sophie fut également étudiante. C’est lors de son passage aux Arts Décoratifs de Paris qu’elle découvrit la gravure et que, depuis, elle ne cesse d’en expérimenter les possibles. Avec cette technique, elle élabore des contes en apparence enfantins mais dotés d’un humour noir des plus décalés. Citons notamment Les Exploits de Bombilla, Le Monde à l’envers, (le Seuil), le Brassens (Mango), le Crime et la Ferme, (les 4 mers). Elle a mis également son talent au service des plus grands journaux de ce monde, comme Libération, Le Monde, ou le New-York Times. Le Premier bal d’Emma est sa première bande dessinée.
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