Née dans une mangeoire à moutons, des chatons dans les mains, Olga Fabrizio grandit en plein air dans une ambiance légumes du jardin et peinture à doigts. Après une année de stylisme expérimental à Paris, un Erasmus en typographie à l'ancienne à Exeter, une partie de saute-moutons la mène à Bruxelles où elle étudiera la communication visuelle à l'Académie royale des Beaux-Arts. Elle en ressort primée, revient en Suisse pour travailler comme graphiste dans une agence de publicité, puis jette ses distinctions aux orties et part en cavale pendant une année en Asie. De retour en Suisse, elle s'installe à Genève comme illustratrice - graphiste indépendante, apprend à dire quatre-vingt et à oublier le lac Léman. Accessoirement accessoiriste de cinéma, elle exprime aussi sa passion pour la déco en fouillant les vide-greniers et tamisant les brocantes. En bonne collectionneuse, elle remplit son atelier de mappemondes et ses étagères d'objets habités. Tout est prétexte à collecter papiers, emballages et tissus du monde entier qu'elle scanne et recompose, pour faire de ce kaléidoscope improbable des illustrations en mosaïques cosmopolites et décalées.
Née dans une mangeoire à moutons, des chatons dans les mains, Olga Fabrizio grandit en plein air dans une ambiance légumes du jardin et peinture à doigts. Après une année de stylisme expérimental à Paris, un Erasmus en typographie à l'ancienne à Exeter, une partie de saute-moutons la mène à Bruxelles où elle étudiera la communication visuelle à l'Académie royale des Beaux-Arts. Elle en ressort primée, revient en Suisse pour travailler comme graphiste dans une agence de publicité, puis jette ses distinctions aux orties et part en cavale pendant une année en Asie. De retour en Suisse, elle s'installe à Genève comme illustratrice - graphiste indépendante, apprend à dire quatre-vingt et à oublier le lac Léman. Accessoirement accessoiriste de cinéma, elle exprime aussi sa passion pour la déco en fouillant les vide-greniers et tamisant les brocantes. En bonne collectionneuse, elle remplit son atelier de mappemondes et ses étagères d'objets habités. Tout est prétexte à collecter papiers, emballages et tissus du monde entier qu'elle scanne et recompose, pour faire de ce kaléidoscope improbable des illustrations en mosaïques cosmopolites et décalées.