Eugenio Sanz est un frère mariste. Il est né à Talavera de la Reina en septembre 1956. Après des études secondaires au collège mariste de cette ville, il rejoint le noviciat de Maimón. Il y étudie comme professeur à Alcala de Henares et comme catéchiste à Madrid. Il fait sa première profession en 1974, à Villalba, et sa profession perpétuelle en 1980, à Kinshasa. Il a été professeur de sciences au RD Congo et au Rwanda pendant 15 ans. Il a aussi travaillé comme formateur de postulants et scolastiques pendant 10 ans. Il aime lire et jouer à quelques jeux à l'ordinateur. Très jeune Eugenio a senti que les mots de Dieu à Abraham dans la Genèse "Quitte ton pays et va où je te montrerai" lui étaient d'une certaine manière spécialement destinés. Depuis lors il s'est porté volontaire pour aller au Congo et au Rwanda. Quelques jours après avoir terminé sa mission au Rwanda, il reçoit la lettre d'invitation du Supérieur général demandant des volontaires pour aller en Asie. Et, immédiatement, il saisit cette circonstance comme un nouvel appel. Maintenant, à 50 ans, il affirme lui manquer l'inconscience enthousiaste de ses précédentes expériences missionnaires, mais pense conserver encore une dose suffisante pour l'essayer de nouveau.
Eugenio Sanz est un frère mariste. Il est né à Talavera de la Reina en septembre 1956. Après des études secondaires au collège mariste de cette ville, il rejoint le noviciat de Maimón. Il y étudie comme professeur à Alcala de Henares et comme catéchiste à Madrid. Il fait sa première profession en 1974, à Villalba, et sa profession perpétuelle en 1980, à Kinshasa. Il a été professeur de sciences au RD Congo et au Rwanda pendant 15 ans. Il a aussi travaillé comme formateur de postulants et scolastiques pendant 10 ans. Il aime lire et jouer à quelques jeux à l'ordinateur. Très jeune Eugenio a senti que les mots de Dieu à Abraham dans la Genèse "Quitte ton pays et va où je te montrerai" lui étaient d'une certaine manière spécialement destinés. Depuis lors il s'est porté volontaire pour aller au Congo et au Rwanda. Quelques jours après avoir terminé sa mission au Rwanda, il reçoit la lettre d'invitation du Supérieur général demandant des volontaires pour aller en Asie. Et, immédiatement, il saisit cette circonstance comme un nouvel appel. Maintenant, à 50 ans, il affirme lui manquer l'inconscience enthousiaste de ses précédentes expériences missionnaires, mais pense conserver encore une dose suffisante pour l'essayer de nouveau.