Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Alexis Chabert est né le 1er mai 1962 à Paris. Les dessins de son père baignent son enfance et favorisent son goût pour l’illustration. Après avoir obtenu son baccalauréat, il étudie quelques mois aux Beaux-Arts de Versailles. Peu satisfait des cours qu’il y suit, il bifurque vers le Conservatoire de musique (guitare classique) avec la ferme intention de devenir professionnel. Il se rend malheureusement compte qu’il lui faudra de longues années avant que cela ne devienne lucratif. Il revient donc à l’illustration mais apprécie toujours autant les musiques de films, les chants liturgiques ainsi que les musiques traditionnelles. Pendant 6 ans, il fait partie d’un studio de création graphique tout en essayant de monter un projet BD avec son vieil ami Eric Suchère. Après de nombreuses tentatives infructueuses, il finit par montrer son travail à Guy Delcourt et ce dernier le présente à Didier Convard. Ils s’attaquent ensemble à la série médiévale Rogon le Leu époque qu’Alexis appréciait déjà pour sa musique. Ses idoles du côté de la BD ? Choix plutôt éclectique : Hergé, Giraud, Schuiten, Vuillemin et Binet. Il avoue en outre un petit faible pour le peintre Turner.
Texte © Delcourt
Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Alexis Chabert est né le 1er mai 1962 à Paris. Les dessins de son père baignent son enfance et favorisent son goût pour l’illustration. Après avoir obtenu son baccalauréat, il étudie quelques mois aux Beaux-Arts de Versailles. Peu satisfait des cours qu’il y suit, il bifurque vers le Conservatoire de musique (guitare classique) avec la ferme intention de devenir professionnel. Il se rend malheureusement compte qu’il lui faudra de longues années avant que cela ne devienne lucratif. Il revient donc à l’illustration mais apprécie toujours autant les musiques de films, les chants liturgiques ainsi que les musiques traditionnelles. Pendant 6 ans, il fait partie d’un studio de création graphique tout en essayant de monter un projet BD avec son vieil ami Eric Suchère. Après de nombreuses tentatives infructueuses, il finit par montrer son travail à Guy Delcourt et ce dernier le présente à Didier Convard. Ils s’attaquent ensemble à la série médiévale Rogon le Leu époque qu’Alexis appréciait déjà pour sa musique. Ses idoles du côté de la BD ? Choix plutôt éclectique : Hergé, Giraud, Schuiten, Vuillemin et Binet. Il avoue en outre un petit faible pour le peintre Turner.
Texte © Delcourt