Tsuchinoko est le plus Japonais des artistes Français. Son univers est à la croisée des chemins, on y retrouve du Neo Tokyo sauce Otomo, du Ghost in the Shell aussi ou encore du Tarentino, mais pas que ! Ses influences, comme son patronyme l'indique, sont clairement asiatiques, pourtant le grand gaillard avec son mohawk blond et ses manchettes réalisées par le dernier trappeur est très loin de l'image de l'Otaku classique. Son parcours est lui aussi atypique : Estienne puis 20 ans de design graphique dans des agences, y compris la sienne pendant 8 ans ou encore la petite chaine qui monte (à l'époque où elle montait effectivement). Il fait partie de ces artistes couteaux suisse qui au delà eu dessin font de la photo du digital art ou encore du développement web. Tsuchinoko, c'est aussi un style, un coup de crayon, une patte reconnaissable : du noir et blanc, du rouge, du dotwork. C'est justement là que son travail prend toute sa profondeur car il utilise habillement ces 3 techniques (dessin, photo et digital art) en mélangeant nos repères au point qu'il en devient impossible de discerner le numérique de l'organique à l'arrivée.
Tsuchinoko est le plus Japonais des artistes Français. Son univers est à la croisée des chemins, on y retrouve du Neo Tokyo sauce Otomo, du Ghost in the Shell aussi ou encore du Tarentino, mais pas que ! Ses influences, comme son patronyme l'indique, sont clairement asiatiques, pourtant le grand gaillard avec son mohawk blond et ses manchettes réalisées par le dernier trappeur est très loin de l'image de l'Otaku classique. Son parcours est lui aussi atypique : Estienne puis 20 ans de design graphique dans des agences, y compris la sienne pendant 8 ans ou encore la petite chaine qui monte (à l'époque où elle montait effectivement). Il fait partie de ces artistes couteaux suisse qui au delà eu dessin font de la photo du digital art ou encore du développement web. Tsuchinoko, c'est aussi un style, un coup de crayon, une patte reconnaissable : du noir et blanc, du rouge, du dotwork. C'est justement là que son travail prend toute sa profondeur car il utilise habillement ces 3 techniques (dessin, photo et digital art) en mélangeant nos repères au point qu'il en devient impossible de discerner le numérique de l'organique à l'arrivée.