Val a eu une enfance somme toute banale et agréable à Bruxelles, bercée par « Fluide glacial, l’Echo des savanes, Spirou mag, Pilote (évidemment) et autres magasines de BD ». Comme la plupart, c’est à cette époque que les premières esquisses voient le jour au travers des marges de cahiers de leçons. À l’adolescence, elles s’affinent pour le bonheur des petits condisciples de classes et le malheur de professeurs irrités par tant de gâchis intellectuels au profit de petits mickeys. À l’adolescence, l’intérêt se déporte vers plus de finition en s’émerveillant devant tant de chefs d’oeuvre de la littérature que sont les albums cartonnés de tous styles et toutes natures. On se cultive avec « Cubitus » et « Achille Talon », on voyage avec « Valérian », « Astérix » et «Tintin», on s’endurcit avec « Les casseurs », on s’éduque avec « Carmen Cru », « Sœur Marie-Thérès e» et « Manara ». C’est à cette période qu’apparaît le goût certain pour le dessin de presse et d’humour et le style percutant de ces derniers. Autodidacte et déterminé, le style évolue sans cesse sans jamais, fort heureusement, atteindre une perfection qui signerait l’arrêt d’un artiste en devenir. Un style spontané et brut préférant les cartoons humoristiques aux dessins réalistes avec une propension certaine à verser dans le satyrique ou le décalé. Il s’installe en France en 2014.
Val a eu une enfance somme toute banale et agréable à Bruxelles, bercée par « Fluide glacial, l’Echo des savanes, Spirou mag, Pilote (évidemment) et autres magasines de BD ». Comme la plupart, c’est à cette époque que les premières esquisses voient le jour au travers des marges de cahiers de leçons. À l’adolescence, elles s’affinent pour le bonheur des petits condisciples de classes et le malheur de professeurs irrités par tant de gâchis intellectuels au profit de petits mickeys. À l’adolescence, l’intérêt se déporte vers plus de finition en s’émerveillant devant tant de chefs d’oeuvre de la littérature que sont les albums cartonnés de tous styles et toutes natures. On se cultive avec « Cubitus » et « Achille Talon », on voyage avec « Valérian », « Astérix » et «Tintin», on s’endurcit avec « Les casseurs », on s’éduque avec « Carmen Cru », « Sœur Marie-Thérès e» et « Manara ». C’est à cette période qu’apparaît le goût certain pour le dessin de presse et d’humour et le style percutant de ces derniers. Autodidacte et déterminé, le style évolue sans cesse sans jamais, fort heureusement, atteindre une perfection qui signerait l’arrêt d’un artiste en devenir. Un style spontané et brut préférant les cartoons humoristiques aux dessins réalistes avec une propension certaine à verser dans le satyrique ou le décalé. Il s’installe en France en 2014.