Né à Bordeaux en 1980, Antoine Pinson est, jusque dans le courant des années 90, un des tagueur les plus influent de sa chambre à coucher et de son cahier texte. Puis, par une fraîche nuit d'avril 1995, alors que le Hip-Hop français est son paroxysme et qu'il s'est enfin décidé à élargir son territoire artistique au mur de la salle des fêtes de Bouliac, il tombe nez à nez avec le mystérieux grapheur Mr Kern, qui est passé avant lui. Impressionné par le talent de son nouvel acolyte, il lui offre son unique bombe de peinture et jette son dévolu sur le caméscope VHS familial. S'ensuit une adolescence heureuse, ponctuée de petits courts-métrages et autres fantaisies visuelles, qui, en 2001 (comme par hasard), le conduisent jusqu'à la capitale où il intègre une école de cinéma en section réalisation. Fort d'un court-métrage plusieurs fois récompensé, Aléa, il évolue depuis en tant que réalisateur, et surtout scénariste, dans tout ce qui touche de près ou de loin à la fiction. Parce que, que ce soit pour le cinéma, notamment la co-écriture du film de Pascal Rabaté, Du Goudron et des plumes, et plusieurs projets courts ou longs-métrages, pour la télévision, avec la conception de séries jeunesse (Trop potes, Pirates des Abysses (en animation)) ou différents formats d'émissions de caméras cachées, le théâtre, la littérature, les contenus de marques et d'applications numériques, ce qu'Antoine aime le plus, c'est raconter des histoires. Toutes sortes d'histoires. Mais particulièrement quand c'est de la bande dessinée peinte à la main par le génial Mr Kern !
Texte © Les Requins Marteaux
Né à Bordeaux en 1980, Antoine Pinson est, jusque dans le courant des années 90, un des tagueur les plus influent de sa chambre à coucher et de son cahier texte. Puis, par une fraîche nuit d'avril 1995, alors que le Hip-Hop français est son paroxysme et qu'il s'est enfin décidé à élargir son territoire artistique au mur de la salle des fêtes de Bouliac, il tombe nez à nez avec le mystérieux grapheur Mr Kern, qui est passé avant lui. Impressionné par le talent de son nouvel acolyte, il lui offre son unique bombe de peinture et jette son dévolu sur le caméscope VHS familial. S'ensuit une adolescence heureuse, ponctuée de petits courts-métrages et autres fantaisies visuelles, qui, en 2001 (comme par hasard), le conduisent jusqu'à la capitale où il intègre une école de cinéma en section réalisation. Fort d'un court-métrage plusieurs fois récompensé, Aléa, il évolue depuis en tant que réalisateur, et surtout scénariste, dans tout ce qui touche de près ou de loin à la fiction. Parce que, que ce soit pour le cinéma, notamment la co-écriture du film de Pascal Rabaté, Du Goudron et des plumes, et plusieurs projets courts ou longs-métrages, pour la télévision, avec la conception de séries jeunesse (Trop potes, Pirates des Abysses (en animation)) ou différents formats d'émissions de caméras cachées, le théâtre, la littérature, les contenus de marques et d'applications numériques, ce qu'Antoine aime le plus, c'est raconter des histoires. Toutes sortes d'histoires. Mais particulièrement quand c'est de la bande dessinée peinte à la main par le génial Mr Kern !
Texte © Les Requins Marteaux