Né en 1963 à Oldenbourg, Martin tom Dieck vit aujourd’hui à Hambourg où il a étudié l’illustration de 1986 à 1992 aux Arts Appliqués. En 1993, il obtient la bourse « Stadtzeichner Alsfeld » puis il publie un premier livre Der unschuldige Passager, L’Innocent Passager, paru en France au Seuil images. Parallèlement, il travaille comme illustrateur pour la presse mais aussi pour la jeunesse, et publie dans les revues Strapazin, Lapin et Frigobox. En 1998, paraît aux éditions Fréon, Salut Deleuze !, un travail réalisé en commun avec Jens Balzer, critique de littérature et de bande dessinée dans différents journaux et hebdomadaires allemands. Depuis de nombreuses années, Martin tom Dieck travaille sur la destinée de Walter Mehring, dadaïste allemand, chassé par la montée du nazisme. Deux récits publiés dans Le Cheval sans tête préfigurent cette fresque ambitieuse de l’entre-deux guerres, période charnière tant politiquement qu’artistiquement.
Texte © Frémok
Né en 1963 à Oldenbourg, Martin tom Dieck vit aujourd’hui à Hambourg où il a étudié l’illustration de 1986 à 1992 aux Arts Appliqués. En 1993, il obtient la bourse « Stadtzeichner Alsfeld » puis il publie un premier livre Der unschuldige Passager, L’Innocent Passager, paru en France au Seuil images. Parallèlement, il travaille comme illustrateur pour la presse mais aussi pour la jeunesse, et publie dans les revues Strapazin, Lapin et Frigobox. En 1998, paraît aux éditions Fréon, Salut Deleuze !, un travail réalisé en commun avec Jens Balzer, critique de littérature et de bande dessinée dans différents journaux et hebdomadaires allemands. Depuis de nombreuses années, Martin tom Dieck travaille sur la destinée de Walter Mehring, dadaïste allemand, chassé par la montée du nazisme. Deux récits publiés dans Le Cheval sans tête préfigurent cette fresque ambitieuse de l’entre-deux guerres, période charnière tant politiquement qu’artistiquement.
Texte © Frémok