Vincent Sardon est né en 1970 à Bayonne au Pays Basque. D'origine espagnole, il passe son enfance
à la campagne où il s'ennuie ferme. Pour passer le temps, il dévore Pif-Gadget et Rahan, puis
recopie ses personnages préférés tels que Capitaine Apache de Norma. C'est ainsi que Vincent
Sardon se met au dessin. Arrivé au collège, il publie avec son copain de classe Xavier Mussat,
Délirium, son premier fanzine. Quelques années plus tard, ils se retrouveront pour créer un autre
fanzine qui existe toujours : Ego comme X. Après un Bac A3, il s'installe à Bordeaux où il passe une
licence d'arts plastiques. Vers 23 ans, Vincent Sardon commence à enseigner le dessin, dès qu'il décroche son CAPES. Sa carrière de professeur est brève. Peu intéressé par l'enseignement, il se tourne vers l'illustration et la BD. Principalement dessinateur de Presse, Vincent Sardon définit la bande dessinée comme un « travail de Romain, difficile et mal payé » et préfère la qualifier de « loisir masochiste ». Ses sources d'inspiration sont multiples : peintres primitifs, art médiéval, naïf ou brut, gravures de vieux dictionnaires... Parmi ses artistes préférés, on peux citer Edward Gorey, Matt Konture, Julie Doucet, Stéphane Blanquet, Georges Grosz, Placid, Sophie Dutertre; Pris d'une envie
de réaliser un ouvrage pour les enfants, Vincent Sardon s'adresse à, Anne Baraou. Elle imagine une famille d'outre-tombe : Les Ostings. Petit-fils de fossoyeur, aimant bien dessiner des squelettes, Vincent Sardon était tout indiqué pour réaliser cette amusante histoire.Son projet le plus important : un récit sur la guerre d'Espagne et la CNT, syndicat anarchiste où militait son grand-père, après son exil en France. En attendant, il continue à dessiner dans la Presse, notamment dans le quotidien Libération.
Texte © Delcourt
Vincent Sardon est né en 1970 à Bayonne au Pays Basque. D'origine espagnole, il passe son enfance
à la campagne où il s'ennuie ferme. Pour passer le temps, il dévore Pif-Gadget et Rahan, puis
recopie ses personnages préférés tels que Capitaine Apache de Norma. C'est ainsi que Vincent
Sardon se met au dessin. Arrivé au collège, il publie avec son copain de classe Xavier Mussat,
Délirium, son premier fanzine. Quelques années plus tard, ils se retrouveront pour créer un autre
fanzine qui existe toujours : Ego comme X. Après un Bac A3, il s'installe à Bordeaux où il passe une
licence d'arts plastiques. Vers 23 ans, Vincent Sardon commence à enseigner le dessin, dès qu'il décroche son CAPES. Sa carrière de professeur est brève. Peu intéressé par l'enseignement, il se tourne vers l'illustration et la BD. Principalement dessinateur de Presse, Vincent Sardon définit la bande dessinée comme un « travail de Romain, difficile et mal payé » et préfère la qualifier de « loisir masochiste ». Ses sources d'inspiration sont multiples : peintres primitifs, art médiéval, naïf ou brut, gravures de vieux dictionnaires... Parmi ses artistes préférés, on peux citer Edward Gorey, Matt Konture, Julie Doucet, Stéphane Blanquet, Georges Grosz, Placid, Sophie Dutertre; Pris d'une envie
de réaliser un ouvrage pour les enfants, Vincent Sardon s'adresse à, Anne Baraou. Elle imagine une famille d'outre-tombe : Les Ostings. Petit-fils de fossoyeur, aimant bien dessiner des squelettes, Vincent Sardon était tout indiqué pour réaliser cette amusante histoire.Son projet le plus important : un récit sur la guerre d'Espagne et la CNT, syndicat anarchiste où militait son grand-père, après son exil en France. En attendant, il continue à dessiner dans la Presse, notamment dans le quotidien Libération.
Texte © Delcourt