Photo © JJ Procureur
Débute sa carrière à l’hebdomadaire Pourquoi Pas ? pour lequel il réalise plusieurs dessins de couverture. Dix ans plus tard, il est engagé par un bureau de publicité, puis s’installe comme indépendant, mais est repris rapidement par le virus du dessin politique et humoristique. Ses premiers dessins sont publiés par Pan, ensuite par Knack, La Dernière Heure, Het Nieuwsblad, Eos. En 1979 Royer débute sa collaboration avec le journal Le Soir, couronnée vingt ans plus tard par une anthologie de son œuvre 20 ans de dessins, parue aux éditions Luc Pire. En 1986 le musée d’Ixelles a organisé une grande exposition de ses dessins, honorée d’une longue visite du roi Baudouin. Il est le premier journaliste, et a fortiori, le premier dessinateur de presse, à avoir été anobli par le roi : il porte le titre de chevalier. Il publie alors son dessin quotidien au journal Le Soir.
Photo © JJ Procureur
Débute sa carrière à l’hebdomadaire Pourquoi Pas ? pour lequel il réalise plusieurs dessins de couverture. Dix ans plus tard, il est engagé par un bureau de publicité, puis s’installe comme indépendant, mais est repris rapidement par le virus du dessin politique et humoristique. Ses premiers dessins sont publiés par Pan, ensuite par Knack, La Dernière Heure, Het Nieuwsblad, Eos. En 1979 Royer débute sa collaboration avec le journal Le Soir, couronnée vingt ans plus tard par une anthologie de son œuvre 20 ans de dessins, parue aux éditions Luc Pire. En 1986 le musée d’Ixelles a organisé une grande exposition de ses dessins, honorée d’une longue visite du roi Baudouin. Il est le premier journaliste, et a fortiori, le premier dessinateur de presse, à avoir été anobli par le roi : il porte le titre de chevalier. Il publie alors son dessin quotidien au journal Le Soir.