Alexandra Schwartzbrod, née le 24 février 1960 à Nancy, est une journaliste, essayiste et auteur français de roman policier. Diplômée de l'École supérieure d'interprètes et de traducteurs (ESIT) en 1982, elle s'oriente vers le journalisme. Elle est notamment journaliste aux Échos de 1989 à 1994 avant de rejoindre le journal Libération en 1994, pour lequel elle a été correspondante à Jérusalem de 2000 à 2003. Commentant la politique intérieure israélienne, elle dénonce le « mépris avec lequel les Palestiniens sont traités. ». Elle est directrice adjointe de la rédaction de Libération. Parallèlement à ses activités journalistiques, elle écrit des essais et des romans dont deux ont été primés : Balagan, qui a reçu le Prix SNCF du polar en 2003, et Adieu Jérusalem, Grand prix de littérature policière en 2010. En 2013, commentant les manifestations faisant suite au vote de la loi concernant le mariage homosexuel, elle avance que les opposants à cette loi « ceux qui se disent encore anti-mariage pour tous se positionnent d’abord comme anti-républicains, refusant obstinément de reconnaître la loi votée ». En 2015, afin de lutter contre l'immigration clandestine, elle propose dans Libération d'ouvrir « nos portes aux migrants », « en organisant intelligemment et humainement l’arrivée de réfugiés souvent qualifiés ».
Texte © Wikpédia
Alexandra Schwartzbrod, née le 24 février 1960 à Nancy, est une journaliste, essayiste et auteur français de roman policier. Diplômée de l'École supérieure d'interprètes et de traducteurs (ESIT) en 1982, elle s'oriente vers le journalisme. Elle est notamment journaliste aux Échos de 1989 à 1994 avant de rejoindre le journal Libération en 1994, pour lequel elle a été correspondante à Jérusalem de 2000 à 2003. Commentant la politique intérieure israélienne, elle dénonce le « mépris avec lequel les Palestiniens sont traités. ». Elle est directrice adjointe de la rédaction de Libération. Parallèlement à ses activités journalistiques, elle écrit des essais et des romans dont deux ont été primés : Balagan, qui a reçu le Prix SNCF du polar en 2003, et Adieu Jérusalem, Grand prix de littérature policière en 2010. En 2013, commentant les manifestations faisant suite au vote de la loi concernant le mariage homosexuel, elle avance que les opposants à cette loi « ceux qui se disent encore anti-mariage pour tous se positionnent d’abord comme anti-républicains, refusant obstinément de reconnaître la loi votée ». En 2015, afin de lutter contre l'immigration clandestine, elle propose dans Libération d'ouvrir « nos portes aux migrants », « en organisant intelligemment et humainement l’arrivée de réfugiés souvent qualifiés ».
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