Alexandre Tikhomiroff a toujours écrit de la poésie. En 1969, un recueil, « Le sel sur les lèvres », a été édité par P. J Oswald, l'éditeur des nouveaux poètes. Son livre « La tasse de thé » paru en 2009 aux éditions l'Harmattan, histoire d'une immigration de la Russie à Paris, lui a ouvert les portes du salon du livre Porte de Versailles. Depuis, ce livre, traduit en russe, a été édité à Kiev est mis en vente à Moscou et à l'institut Soljenitsyne entre autres. Autre ouvrage paru dans la même maison « Une caserne au soleil », qu'il a écrit à 21 ans, pendant la guerre d'Algérie. Ce fils d'émigré russe et de mère castillane vit entre Meudon et Larmor-Baden avec son épouse britannique, et s'intègre dans plusieurs activités culturelles notamment sur Vannes. Cet ancien expert économique en Russie pour la CEE (Communauté européenne), conférencier et président d'associations culturelles, a beaucoup bourlingué. Il a organisé un hommage à la poétesse Maria Tsvetaieva et a reçu le philosophe polémiste Alexandre Zinoviev.
Texte © Le Télégramme
Alexandre Tikhomiroff a toujours écrit de la poésie. En 1969, un recueil, « Le sel sur les lèvres », a été édité par P. J Oswald, l'éditeur des nouveaux poètes. Son livre « La tasse de thé » paru en 2009 aux éditions l'Harmattan, histoire d'une immigration de la Russie à Paris, lui a ouvert les portes du salon du livre Porte de Versailles. Depuis, ce livre, traduit en russe, a été édité à Kiev est mis en vente à Moscou et à l'institut Soljenitsyne entre autres. Autre ouvrage paru dans la même maison « Une caserne au soleil », qu'il a écrit à 21 ans, pendant la guerre d'Algérie. Ce fils d'émigré russe et de mère castillane vit entre Meudon et Larmor-Baden avec son épouse britannique, et s'intègre dans plusieurs activités culturelles notamment sur Vannes. Cet ancien expert économique en Russie pour la CEE (Communauté européenne), conférencier et président d'associations culturelles, a beaucoup bourlingué. Il a organisé un hommage à la poétesse Maria Tsvetaieva et a reçu le philosophe polémiste Alexandre Zinoviev.
Texte © Le Télégramme