Né en l’an de grâce 1975 en terre bretonne, j’ai au plus loin de mes souvenirs toujours aimé dessiner. Cette manie me vient d’un père diplôme des beaux arts pour les gènes, et d’un tonton travaillant dans une maison de la presse pour tous les Pif gadget et autres Picsou magazine qui traînaient aux pieds de mon lit de petit garçon. C’est trop tard, le virus du crobard est entré en moi, et il n’en sortira plus jamais. Après moult expériences professionnelles, je me lançai à 28 ans dans une école d’arts graphiques rennaise. J’ai bossé pour la pub comme roughtman et graphiste, puis comme illustrateur pour enfant, mais ça faisait défaut de rigole tout ça. L’absurde de mes maîtres à penser que son Gotlib, Edika, Maester, Franquin et autre Uderzo me manquait. L’amalgame de mes intérêts que sont le dessin, l’humour (oui oui c’est une passion la rigolade !) et la sacro-sainte liberté d’expression m’amena naturellement vers le dessin de presse.
Texte © Bar à Mines
Né en l’an de grâce 1975 en terre bretonne, j’ai au plus loin de mes souvenirs toujours aimé dessiner. Cette manie me vient d’un père diplôme des beaux arts pour les gènes, et d’un tonton travaillant dans une maison de la presse pour tous les Pif gadget et autres Picsou magazine qui traînaient aux pieds de mon lit de petit garçon. C’est trop tard, le virus du crobard est entré en moi, et il n’en sortira plus jamais. Après moult expériences professionnelles, je me lançai à 28 ans dans une école d’arts graphiques rennaise. J’ai bossé pour la pub comme roughtman et graphiste, puis comme illustrateur pour enfant, mais ça faisait défaut de rigole tout ça. L’absurde de mes maîtres à penser que son Gotlib, Edika, Maester, Franquin et autre Uderzo me manquait. L’amalgame de mes intérêts que sont le dessin, l’humour (oui oui c’est une passion la rigolade !) et la sacro-sainte liberté d’expression m’amena naturellement vers le dessin de presse.
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