Né quelques mois après la mort de Bon Scott, et le même jour que Diam’s, le petit Renaud Collard, qui ne se faisait pas encore appeler « Renard », aurait pu se destiner à une brillante carrière dans la musique… Au lieu de ça, il a choisi de s’intéresser à la BD, sous toutes ses formes, grâce à un stock d’Astérix, Lucky Luke, et autres Tintin, prêtés par son père. Puis les magazines incontournables de sa prime jeunesse, comme Strange, Pif Gadget, Spirou, Mickey Parade et Fluide Glacial, confirment sa vocation : il sera Maëster ou rien ! Comme la place était déjà prise, et après une reprise avortée des X-Men à l’age de douze ans, il se jeta à corps perdu dans les études, et suivit un cursus artistique, jusque sa rencontre avec d’autres dessinateurs, qui lui firent prendre conscience qu’il pouvait quand même faire de la BD et en vivre ! Il commença donc à réfléchir à des projets personnels, incluant la télé, la musique, l’alcool et l’humour… Il publia même des dessins dans un magazine de tir sportif, « Guns & Calibres », mis en couleurs par son comparse Benoit Blary… Grâce à Jean David Morvan, il fut mis en relation avec Éric Corbeyran, avec lequel il réalise une adaptation de Poil de carotte en BD, chez Delcourt, et pour laquelle il doit bien reconnaître qu’il est un peu lent… Mais c’est parce que c’est un perfectionniste ! Si, si, c’est vrai !
Né quelques mois après la mort de Bon Scott, et le même jour que Diam’s, le petit Renaud Collard, qui ne se faisait pas encore appeler « Renard », aurait pu se destiner à une brillante carrière dans la musique… Au lieu de ça, il a choisi de s’intéresser à la BD, sous toutes ses formes, grâce à un stock d’Astérix, Lucky Luke, et autres Tintin, prêtés par son père. Puis les magazines incontournables de sa prime jeunesse, comme Strange, Pif Gadget, Spirou, Mickey Parade et Fluide Glacial, confirment sa vocation : il sera Maëster ou rien ! Comme la place était déjà prise, et après une reprise avortée des X-Men à l’age de douze ans, il se jeta à corps perdu dans les études, et suivit un cursus artistique, jusque sa rencontre avec d’autres dessinateurs, qui lui firent prendre conscience qu’il pouvait quand même faire de la BD et en vivre ! Il commença donc à réfléchir à des projets personnels, incluant la télé, la musique, l’alcool et l’humour… Il publia même des dessins dans un magazine de tir sportif, « Guns & Calibres », mis en couleurs par son comparse Benoit Blary… Grâce à Jean David Morvan, il fut mis en relation avec Éric Corbeyran, avec lequel il réalise une adaptation de Poil de carotte en BD, chez Delcourt, et pour laquelle il doit bien reconnaître qu’il est un peu lent… Mais c’est parce que c’est un perfectionniste ! Si, si, c’est vrai !