Formé aux arts graphiques et plastiques à l’école régionale des Beaux-arts d’Angers, Jean-Luc Roger est remarqué, entre autres, par ses dessins sur l’art roman en Mayenne qui serviront de cartons de tapisserie pour une exposition en Osnabrück (Allemagne) en 1969. De 1970 à 1985, il met ses compétences graphiques au service de sa première carrière publique d’urbaniste à Angers dans la transcription cartographique et la scénographie d’expositions puis l’aménagement urbain. Titulaire du diplôme d’état d’architecte, il fonde son agence en 1986. Son mémoire entièrement dessiné à la main confronte architecture et art des jardins : « Le temps d’une folie : les Folies Siffait » (Loire-Atlantique). Ce mémoire sera suivi d’une conférence et d’une exposition à Nantes en 1988. L’agence se développe, principalement référencée dans le domaine public : en architecture dans le social, le médico-social et l’enseignement, et en urbanisme dans la rénovation urbaine et l’aménagement d’espaces publics. L’architecture en privé s’est concrétisée dans la conception de lieux de travail, ponctuée de commandes spécifiques dans le design et la décoration intérieure. La rénovation des cités universitaires sur Nantes et Angers ainsi que la conception des usines et bureaux de LTA à Nantes et le siège des Ets Maisonneuve à Château-Gontier feront l’objet de publications dans la revue « 303 » et dans la publication « L’acier pour construire ». L’agence se transforme en société d’architectes en 1998 et devient RO.ME Architectes. Elle rayonne principalement dans les Pays de la Loire. Une nouvelle thématique voit le jour : la conception de lieux « religieux » et notamment la rénovation de l’abbaye de la Coudre, de 2008 à 2014, qui constituera pour Jean Luc Roger, son dernier chantier. Désormais, il se consacre exclusivement au dessin.
Formé aux arts graphiques et plastiques à l’école régionale des Beaux-arts d’Angers, Jean-Luc Roger est remarqué, entre autres, par ses dessins sur l’art roman en Mayenne qui serviront de cartons de tapisserie pour une exposition en Osnabrück (Allemagne) en 1969. De 1970 à 1985, il met ses compétences graphiques au service de sa première carrière publique d’urbaniste à Angers dans la transcription cartographique et la scénographie d’expositions puis l’aménagement urbain. Titulaire du diplôme d’état d’architecte, il fonde son agence en 1986. Son mémoire entièrement dessiné à la main confronte architecture et art des jardins : « Le temps d’une folie : les Folies Siffait » (Loire-Atlantique). Ce mémoire sera suivi d’une conférence et d’une exposition à Nantes en 1988. L’agence se développe, principalement référencée dans le domaine public : en architecture dans le social, le médico-social et l’enseignement, et en urbanisme dans la rénovation urbaine et l’aménagement d’espaces publics. L’architecture en privé s’est concrétisée dans la conception de lieux de travail, ponctuée de commandes spécifiques dans le design et la décoration intérieure. La rénovation des cités universitaires sur Nantes et Angers ainsi que la conception des usines et bureaux de LTA à Nantes et le siège des Ets Maisonneuve à Château-Gontier feront l’objet de publications dans la revue « 303 » et dans la publication « L’acier pour construire ». L’agence se transforme en société d’architectes en 1998 et devient RO.ME Architectes. Elle rayonne principalement dans les Pays de la Loire. Une nouvelle thématique voit le jour : la conception de lieux « religieux » et notamment la rénovation de l’abbaye de la Coudre, de 2008 à 2014, qui constituera pour Jean Luc Roger, son dernier chantier. Désormais, il se consacre exclusivement au dessin.