Colette Braeckman est une journaliste belge, née le 20 avril 1946, à Ixelles. Elle est membre de la rédaction du journal belge francophone Le Soir, responsable de l’actualité africaine et plus particulièrement de l’Afrique centrale. Elle est également chroniqueuse dans des revues et magazines, dont Le Monde diplomatique. Les articles de Colette Braeckman sur le génocide rwandais ont été critiques envers le gouvernement français. Ceux-ci ont, à leur tour, été critiqués, notamment en France, par des personnalités défendant d'autres thèses plus favorables au gouvernement français, mais contestées : l'essayiste Robin Philpot, les journalistes Pierre Péan et Charles Onana, par l'historien Bernard Lugan, par le colonel Jacques Hogard, ainsi que par Joseph Ngarambe, rescapé du génocide des Tutsis, expert consultant auprès du TPIR, dans un entretien accordé à M. Péan et reproduit dans son livre. Ses travaux ont été également largement repris par l'association Survie.
Texte © Wikipedia
Colette Braeckman est une journaliste belge, née le 20 avril 1946, à Ixelles. Elle est membre de la rédaction du journal belge francophone Le Soir, responsable de l’actualité africaine et plus particulièrement de l’Afrique centrale. Elle est également chroniqueuse dans des revues et magazines, dont Le Monde diplomatique. Les articles de Colette Braeckman sur le génocide rwandais ont été critiques envers le gouvernement français. Ceux-ci ont, à leur tour, été critiqués, notamment en France, par des personnalités défendant d'autres thèses plus favorables au gouvernement français, mais contestées : l'essayiste Robin Philpot, les journalistes Pierre Péan et Charles Onana, par l'historien Bernard Lugan, par le colonel Jacques Hogard, ainsi que par Joseph Ngarambe, rescapé du génocide des Tutsis, expert consultant auprès du TPIR, dans un entretien accordé à M. Péan et reproduit dans son livre. Ses travaux ont été également largement repris par l'association Survie.
Texte © Wikipedia