Relom, Olivier Morel de son vrai nom, est né à Tours le 7 avril 1973. Considérant que le relais est enfin assuré, Picasso meurt le lendemain. Relom quitte le lycée avant les épreuves du Bac pour devenir animateur radio, l’espace de quelques mois. S’ensuit un blanc cosmique de six années, durant lesquelles… Mais vous ne saurez absolument pas ce qui s’est passé ! À 24 ans, Relom décide de faire de la bande dessinée. Le mensuel Psikopat publie ses premières planches en 1999 (Dirty Karl), Fluide Glacial le contacte en 2000 et c’est parti pour deux tomes de “Andy et Gina”, frère et sœur et pourtant si différents… L’humour de Relom est sans pitié, comme le regard que les enfants portent sur les adultes, et en particulier sur leurs parents ! L’innocence de l’un (Andy) et le cynisme de l’autre (Gina) s’entremêlent pour composer un monde aussi effrayant qu’attachant. Ainsi, le chemin qui mène à l’école peut se révéler merveilleux… ou cauchemardesque ! Oscillant entre poésie et roman noir, “Andy et Gina” suit pourtant une constante : ils nous fait mourir de rire.
Relom, Olivier Morel de son vrai nom, est né à Tours le 7 avril 1973. Considérant que le relais est enfin assuré, Picasso meurt le lendemain. Relom quitte le lycée avant les épreuves du Bac pour devenir animateur radio, l’espace de quelques mois. S’ensuit un blanc cosmique de six années, durant lesquelles… Mais vous ne saurez absolument pas ce qui s’est passé ! À 24 ans, Relom décide de faire de la bande dessinée. Le mensuel Psikopat publie ses premières planches en 1999 (Dirty Karl), Fluide Glacial le contacte en 2000 et c’est parti pour deux tomes de “Andy et Gina”, frère et sœur et pourtant si différents… L’humour de Relom est sans pitié, comme le regard que les enfants portent sur les adultes, et en particulier sur leurs parents ! L’innocence de l’un (Andy) et le cynisme de l’autre (Gina) s’entremêlent pour composer un monde aussi effrayant qu’attachant. Ainsi, le chemin qui mène à l’école peut se révéler merveilleux… ou cauchemardesque ! Oscillant entre poésie et roman noir, “Andy et Gina” suit pourtant une constante : ils nous fait mourir de rire.