Marie Ecarlat est une jeune illustratrice et Character Designer qui propose un univers à la fois enfantin et fantastique. Née à La Rochelle où elle a vécu jusqu’à sa majorité, Marie a toujours nourri une immense passion pour le dessin, qu’il s’agisse des gribouillages auxquels elle s’adonnait sur les bancs de l’école ou bien encore les dessins animés et la BD qui la captivait alors d’avantage que ses cours de math ou de philo. C’est d’ailleurs non loin de chez elle qu’elle décide de partir à la découverte du célèbre festival de bande dessinée à Angoulême. C’est une révélation chez la jeune fille qui commence alors à dessiner sérieusement dans l’optique d’en faire son métier. Une fois son bac en poche, elle entre à l’ESMA de Montpellier et y intègre la section animation et effets spéciaux. Durant son cursus, elle découvre le monde du film d’animation et s’initie rapidement à la 3D afin de réaliser son premier court-métrage, Cupidon, en compagnie de ses camarades. Une fois ses études terminées, elle décide d’abandonner le monde de la 3D pour se consacrer au dessin et devenir designer au sein de l’agence londonienne I Love Dust, tout en exerçant ses talents d’illustratrice en tant que freelance pour le compte de divers clients. Le dessin est autant un exutoire qu’une passion pour Marie Ecarlat qui dessine beaucoup pour la jeunesse avec des personnages dans un style figuratif, plongés la plupart du temps dans un univers fantastique. Sa palette de couleurs, bien que majoritairement vive et saturée, varie en fonction de ses états d’âme et lui permet ainsi d’exprimer ses émotions au travers de l’illustration. Ses influences sont extrêmement variées, allant de réalisateurs japonais comme Miyazaki ou Satoshi Kon à des maîtres de la bande dessinée comme Moebius, Bilal, ou bien encore Barbucci, Guarnido, Ashley Wood, Robert Valley, Claire Wendling… Elle lit autant de mangas que de BD et de comics, mais s’inspire également beaucoup des travaux de nombreux blogueurs illustrateurs/designers. Puisant son inspiration de ce qui l’entoure, elle se rend aussi régulièrement que possible dans les musées pour y découvrir les collections permanentes ou des expositions temporaires autours des ses maîtres, tels que Turner, Andy Warhol, Courbet, Moebius, Camille Claudel, Louise Bourgeois, Mucha, Manolo Valdés, Dali, Yves Saint-Laurent…
Marie Ecarlat est une jeune illustratrice et Character Designer qui propose un univers à la fois enfantin et fantastique. Née à La Rochelle où elle a vécu jusqu’à sa majorité, Marie a toujours nourri une immense passion pour le dessin, qu’il s’agisse des gribouillages auxquels elle s’adonnait sur les bancs de l’école ou bien encore les dessins animés et la BD qui la captivait alors d’avantage que ses cours de math ou de philo. C’est d’ailleurs non loin de chez elle qu’elle décide de partir à la découverte du célèbre festival de bande dessinée à Angoulême. C’est une révélation chez la jeune fille qui commence alors à dessiner sérieusement dans l’optique d’en faire son métier. Une fois son bac en poche, elle entre à l’ESMA de Montpellier et y intègre la section animation et effets spéciaux. Durant son cursus, elle découvre le monde du film d’animation et s’initie rapidement à la 3D afin de réaliser son premier court-métrage, Cupidon, en compagnie de ses camarades. Une fois ses études terminées, elle décide d’abandonner le monde de la 3D pour se consacrer au dessin et devenir designer au sein de l’agence londonienne I Love Dust, tout en exerçant ses talents d’illustratrice en tant que freelance pour le compte de divers clients. Le dessin est autant un exutoire qu’une passion pour Marie Ecarlat qui dessine beaucoup pour la jeunesse avec des personnages dans un style figuratif, plongés la plupart du temps dans un univers fantastique. Sa palette de couleurs, bien que majoritairement vive et saturée, varie en fonction de ses états d’âme et lui permet ainsi d’exprimer ses émotions au travers de l’illustration. Ses influences sont extrêmement variées, allant de réalisateurs japonais comme Miyazaki ou Satoshi Kon à des maîtres de la bande dessinée comme Moebius, Bilal, ou bien encore Barbucci, Guarnido, Ashley Wood, Robert Valley, Claire Wendling… Elle lit autant de mangas que de BD et de comics, mais s’inspire également beaucoup des travaux de nombreux blogueurs illustrateurs/designers. […]
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Roger et ses humains
