Charles Recoursé est né en 1982 à Brest. Après des études erratiques de droit, sciences politiques et communication, il décide que, tant qu’à sécher les cours pour lire des livres, autant en faire sa vie et devenir éditeur (choix discutable puisqu’il est bien connu que les éditeurs ne lisent pas, mais à cette époque il ne pouvait pas le savoir). La fleur au fusil, il obtient ainsi un stage aux Éditions Payot & Rivages en 2005 puis un autre, en 2006, au Diable Vauvert, dans les terres inhospitalières et quelque peu texanes de la Petite Camargue. Victime d’une variété de Syndrome de Stockholm, il y reste jusqu’en 2011, comme assistant d’édition d’abord, puis comme responsable éditorial à partir de 2009. Pendant ce temps, le soir et le week-end, car il faut bien s’occuper quand on est au bout du monde, il découvre la traduction et s’en amourache. En 2012 il décide d’officialiser cette liaison en devenant traducteur à temps plein et œuvre dès lors sur des ouvrages de David Foster Wallace, Lydia Millet, Simon Reynolds, Tao Lin ou encore Richard Krawiec. Il est également membre du comité de rédaction de la revue Le Believer (éditions inculte), juré du Prix de la Page 111 et président de l’association Discudanse, organisatrice de fêtes électroniques, parce qu’il faut bien se dégourdir les jambes de temps à autre.
Texte et photo © Inculte Éditions
Charles Recoursé est né en 1982 à Brest. Après des études erratiques de droit, sciences politiques et communication, il décide que, tant qu’à sécher les cours pour lire des livres, autant en faire sa vie et devenir éditeur (choix discutable puisqu’il est bien connu que les éditeurs ne lisent pas, mais à cette époque il ne pouvait pas le savoir). La fleur au fusil, il obtient ainsi un stage aux Éditions Payot & Rivages en 2005 puis un autre, en 2006, au Diable Vauvert, dans les terres inhospitalières et quelque peu texanes de la Petite Camargue. Victime d’une variété de Syndrome de Stockholm, il y reste jusqu’en 2011, comme assistant d’édition d’abord, puis comme responsable éditorial à partir de 2009. Pendant ce temps, le soir et le week-end, car il faut bien s’occuper quand on est au bout du monde, il découvre la traduction et s’en amourache. En 2012 il décide d’officialiser cette liaison en devenant traducteur à temps plein et œuvre dès lors sur des ouvrages de David Foster Wallace, Lydia Millet, Simon Reynolds, Tao Lin ou encore Richard Krawiec. Il est également membre du comité de rédaction de la revue Le Believer (éditions inculte), juré du Prix de la Page 111 et président de l’association Discudanse, organisatrice de fêtes électroniques, parce qu’il faut bien se dégourdir les jambes de temps à autre.
Texte et photo © Inculte Éditions