D'abord militaire, Max Guérout est officier de marine. Mais il entame dès le début des années 1980 une carrière scientifique qui l'amène à diriger de nombreux chantiers de fouille maritimes. Il participe ainsi à la découverte et à la fouille d'épaves dans diverses régions du monde. C'est dans le cadre de ces missions archéologiques qu'à trois reprises, en 2006, 2008 et 2010, il se rend sur l'île de Tromelin et reconstruit l'histoire des esclaves naufragés. Max Guérout a d'ailleurs contribué à la fondation du Groupe de Recherche en Archéologie Navale (GRAN), dont la vocation est l'archéologie sous-marine, l'histoire maritime et le patrimoine culturel maritime. Entre autres articles et ouvrages, Max Guérout a publié, avec Thomas Romon, Tromelin, l'île aux esclaves oubliés (CNRS Editions, 2010).
D'abord militaire, Max Guérout est officier de marine. Mais il entame dès le début des années 1980 une carrière scientifique qui l'amène à diriger de nombreux chantiers de fouille maritimes. Il participe ainsi à la découverte et à la fouille d'épaves dans diverses régions du monde. C'est dans le cadre de ces missions archéologiques qu'à trois reprises, en 2006, 2008 et 2010, il se rend sur l'île de Tromelin et reconstruit l'histoire des esclaves naufragés. Max Guérout a d'ailleurs contribué à la fondation du Groupe de Recherche en Archéologie Navale (GRAN), dont la vocation est l'archéologie sous-marine, l'histoire maritime et le patrimoine culturel maritime. Entre autres articles et ouvrages, Max Guérout a publié, avec Thomas Romon, Tromelin, l'île aux esclaves oubliés (CNRS Editions, 2010).