Charlie Zanello est né le 04 juillet 1985 et déteste que l’on oublie son anniversaire. Un jour il a même failli casser un radiateur à mains nues tellement il était en colère. Il a subi une enfance normale à Mécleuves (57) avec Nicolas, son frère aîné qui ne le frappe même pas, Marie-Jo et Gilles, ses parents même pas alcooliques. Malgré sa petite taille (1m69), Charlie Zanello se fait vite remarquer dans bien des disciplines (bras de fer, trampoline, judo, danse du ventre), ce qui plus tard lui ouvrira des portes tout en refermant d’autres. En plus d’être un sportif accompli qui réalise lui-même toutes ses cascades, il n’en est pas moins un artiste complet et réussit avec brio la moussaka. En 2010, sous la pression populaire, il se laisse enfin pousser les rouflaquettes et s’achète de grosses lunettes carrées à monture noire pour paraître un peu plus crédible en tant qu’ « auteur de bd ». Après des années d’une insoutenable attente, le public découvre enfin son premier album à compte d’éditeur. Il se nomme « 15bis Faubourg Ste Berthe » aux éditions du Goûteur Chauve, un titre que les plus de 65 ans ont bien du mal à intégrer. Suivront « Schtampeul Paint » aux éditions du Mégot, ainsi qu’un certain nombre de cochoncetés innommables dont l’auteur lui-même a préféré oublié l’existence. Il lui arrive également depuis peu de baver dans les pages du mensuel Fluide Glacial.
Charlie Zanello est né le 04 juillet 1985 et déteste que l’on oublie son anniversaire. Un jour il a même failli casser un radiateur à mains nues tellement il était en colère. Il a subi une enfance normale à Mécleuves (57) avec Nicolas, son frère aîné qui ne le frappe même pas, Marie-Jo et Gilles, ses parents même pas alcooliques. Malgré sa petite taille (1m69), Charlie Zanello se fait vite remarquer dans bien des disciplines (bras de fer, trampoline, judo, danse du ventre), ce qui plus tard lui ouvrira des portes tout en refermant d’autres. En plus d’être un sportif accompli qui réalise lui-même toutes ses cascades, il n’en est pas moins un artiste complet et réussit avec brio la moussaka. En 2010, sous la pression populaire, il se laisse enfin pousser les rouflaquettes et s’achète de grosses lunettes carrées à monture noire pour paraître un peu plus crédible en tant qu’ « auteur de bd ». Après des années d’une insoutenable attente, le public découvre enfin son premier album à compte d’éditeur. Il se nomme « 15bis Faubourg Ste Berthe » aux éditions du Goûteur Chauve, un titre que les plus de 65 ans ont bien du mal à intégrer. Suivront « Schtampeul Paint » aux éditions du Mégot, ainsi qu’un certain nombre de cochoncetés innommables dont l’auteur lui-même a préféré oublié l’existence. Il lui arrive également depuis peu de baver dans les pages du mensuel Fluide Glacial.
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Dedans le centre Pompidou-Metz
