Jean Hautepierre est un poète et auteur tragique français né en 1967. Son œuvre comporte quatre volets principaux : Le Siège, les tragédies en vers, les autres œuvres poétiques et la traduction poétique. Jean Hautepierre est membre du conseil de la Maison de poésie – Fondation Émile Blémont depuis février 2012. Soucieux de promouvoir les œuvres d’autres auteurs, Jean Hautepierre a publié de 1995 à 2007 un bulletin, La Lettre de Jean Hautepierre, choix trimestriel de textes de poètes contemporains. Aux côtés de Philippe Gras, il a animé un site Internet consacré à la poésie (1999-2002), et a participé à la rédaction et à la diffusion de La Caverne, revue de littérature fantastique (2002). Jean Hautepierre, aux côtés d’Alain Didier et de Paul Arcault, mène une action visant à la promotion du théâtre en vers contemporain. Sa tragédie Néron a été représentée au Théâtre du Nord-Ouest (Paris, 2005) et sa traduction des poèmes d’Edgar Allan Poe a fait l’objet, notamment, d’un récital au théâtre de Nesle (Paris, 2010).
Texte © Wikipédia
Jean Hautepierre est un poète et auteur tragique français né en 1967. Son œuvre comporte quatre volets principaux : Le Siège, les tragédies en vers, les autres œuvres poétiques et la traduction poétique. Jean Hautepierre est membre du conseil de la Maison de poésie – Fondation Émile Blémont depuis février 2012. Soucieux de promouvoir les œuvres d’autres auteurs, Jean Hautepierre a publié de 1995 à 2007 un bulletin, La Lettre de Jean Hautepierre, choix trimestriel de textes de poètes contemporains. Aux côtés de Philippe Gras, il a animé un site Internet consacré à la poésie (1999-2002), et a participé à la rédaction et à la diffusion de La Caverne, revue de littérature fantastique (2002). Jean Hautepierre, aux côtés d’Alain Didier et de Paul Arcault, mène une action visant à la promotion du théâtre en vers contemporain. Sa tragédie Néron a été représentée au Théâtre du Nord-Ouest (Paris, 2005) et sa traduction des poèmes d’Edgar Allan Poe a fait l’objet, notamment, d’un récital au théâtre de Nesle (Paris, 2010).
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