Photo © Nils Kristian Eikeland
Après avoir étudié dans l’atelier de bande dessinée à l’Institut Saint Luc de Bruxelles, Mathieu Flammarion s’est installé à Paris, où il vit et travaille. En parallèle de ses travaux de bande dessinée et d’illustration, il développe depuis plusieurs années ses projets personnels en dessin, peinture sur papier et toile, et assemblages, qu’il a exposé entre autres à Paris, Berlin et New York. Dans le cadre de son engagement en faveur des droits de l’homme en Birmanie au sein d’Info Birmanie, et en collaboration avec Amnesty France et RSF, il a réalisé les illustrations du livre «Birmanie, rêves sous surveillance», paru en 2008 aux éditions Autrement. Ses projets de romans graphiques lui font questionner le réel à partir de ses propres expériences et rencontres. Ses récits tiennent à la fois de l’autobiographie et de l’introspection, tout en revendiquant la liberté des récits de vies imaginaires. Il s’est auto-publié entre 2000 et 2006 avec la revue trimestrielle «Le Débonnaire», et ses projets actuels sont disponibles sur internet. (http://mathieuflammarion.e-monsite.com)
Photo © Nils Kristian Eikeland
Après avoir étudié dans l’atelier de bande dessinée à l’Institut Saint Luc de Bruxelles, Mathieu Flammarion s’est installé à Paris, où il vit et travaille. En parallèle de ses travaux de bande dessinée et d’illustration, il développe depuis plusieurs années ses projets personnels en dessin, peinture sur papier et toile, et assemblages, qu’il a exposé entre autres à Paris, Berlin et New York. Dans le cadre de son engagement en faveur des droits de l’homme en Birmanie au sein d’Info Birmanie, et en collaboration avec Amnesty France et RSF, il a réalisé les illustrations du livre «Birmanie, rêves sous surveillance», paru en 2008 aux éditions Autrement. Ses projets de romans graphiques lui font questionner le réel à partir de ses propres expériences et rencontres. Ses récits tiennent à la fois de l’autobiographie et de l’introspection, tout en revendiquant la liberté des récits de vies imaginaires. Il s’est auto-publié entre 2000 et 2006 avec la revue trimestrielle «Le Débonnaire», et ses projets actuels sont disponibles sur internet. (http://mathieuflammarion.e-monsite.com)