Alfred vient au monde en mai 1976. Au milieu d'une famille d'artistes, il découvre très vite le plaisir de créer des univers, des personnages, des ambiances... Il se nourrit avant tout de livres, de théâtre, de musique et de cinéma. Raconter des histoires avec des dessins devient rapidement une idée fixe. Complètement autodidacte, des années de fanzinat et de micro-édition lui forgent le caractère. Il commence à publier aux Éditions Delcourt (1997), et prend du plaisir à fourrer son nez et ses crayons un peu partout (Treize Étrange, Petit à Petit, Charrette, Le Cycliste, Futuropolis…). En l’an 2000, a lieu une rencontre importante avec le scénariste David Chauvel qui lui propose une série jeunesse, Octave, l’incitant à creuser des orientations graphiques et narratives nouvelles. Depuis, ils collaborent régulièrement sur des ouvrages collectifs comme Paroles sans Papiers en 2007 ou Premières fois en 2008, toujours aux Éditions Delcourt. En 2004, il réalise son vieux rêve : adapter Café Panique, le roman de Roland Topor (Éditions Charrette) dans lequel il s’essaye, à l’instar du peintre-romancier, à mélanger les techniques. Son lieu de travail, « l’Atelier flambant neuf », composé d’illustrateurs et de graphistes, lui permet de débuter la série Le Désespoir du singe (Éditions Delcourt) sur un scénario de Jean-Philippe Peyraud, et de réaliser Pourquoi j’ai tué Pierre avec Olivier Ka – Prix du Public et Essentiel à Angoulême en 2007. Musicien et comédien depuis des années, il monte avec ce même complice, le spectacle du « Crumble Club » en 2006. Sorte de duo-cabaret loufoque dans lequel il chante, conte et surtout occupe la place « d’homme-orchestre » en manipulant divers instruments. En janvier 2009, il prépare pour les Éditions Delcourt Je mourrai pas gibier, adaptation du roman de Guillaume Guéraud. En résumé, Alfred aime explorer des pistes graphiques différentes et ne jamais s’interdire de changer de genre, d’univers ou de manière de faire. Il aime surtout que d’un projet à l’autre, on l’emmène là où il n’avait pas prévu d’aller…
Texte © Delcourt
Alfred vient au monde en mai 1976. Au milieu d'une famille d'artistes, il découvre très vite le plaisir de créer des univers, des personnages, des ambiances... Il se nourrit avant tout de livres, de théâtre, de musique et de cinéma. Raconter des histoires avec des dessins devient rapidement une idée fixe. Complètement autodidacte, des années de fanzinat et de micro-édition lui forgent le caractère. Il commence à publier aux Éditions Delcourt (1997), et prend du plaisir à fourrer son nez et ses crayons un peu partout (Treize Étrange, Petit à Petit, Charrette, Le Cycliste, Futuropolis…). En l’an 2000, a lieu une rencontre importante avec le scénariste David Chauvel qui lui propose une série jeunesse, Octave, l’incitant à creuser des orientations graphiques et narratives nouvelles. Depuis, ils collaborent régulièrement sur des ouvrages collectifs comme Paroles sans Papiers en 2007 ou Premières fois en 2008, toujours aux Éditions Delcourt. En 2004, il réalise son vieux rêve : adapter Café Panique, le roman de Roland Topor (Éditions Charrette) dans lequel il s’essaye, à l’instar du peintre-romancier, à mélanger les techniques. Son lieu de travail, « l’Atelier flambant neuf », composé d’illustrateurs et de graphistes, lui permet de débuter la série Le Désespoir du singe (Éditions Delcourt) sur un scénario de Jean-Philippe Peyraud, et de réaliser Pourquoi j’ai tué Pierre avec Olivier Ka – Prix du Public et Essentiel à Angoulême en 2007. Musicien et comédien depuis des années, il monte avec ce même complice, le spectacle du « Crumble Club » en 2006. Sorte de duo-cabaret loufoque dans lequel il chante, conte et surtout occupe la place « d’homme-orchestre » en manipulant divers instruments. En janvier 2009, il prépare pour les Éditions Delcourt Je mourrai pas gibier, adaptation du roman de Guillaume Guéraud. En résumé, Alfred aime explorer des pistes graphiques différentes et ne jamais s’interdire de changer de genre, d’univers ou de manière de faire. Il aime surtout que d’un […]