Son père, sertisseur, né dans le 5e arrondissement à Paris et sa mère, bijoutière, (pupille de la nation), d’origine creusoise se sont mariés le 8 septembre 1928 dans le 11e arrondissement de Paris. Jean-René Le Moing, leur fils unique nait, et est baptisé, le 28 mai 1929 au 19b rue Chaligny, hôpital St Antoine, dans le 12e arr. Son père a 24 ans et sa mère 21 ans, ils habitent non loin de là au 5 rue de Godefroy Cavaignac (11e arr). Il grandit dans le 19e arrondissement de Paris, au 14 de la rue Mouzaia, et c’est un bon vivant qui aime retrouver ses copains des Buttes Chaumont dans un bar de l’angle de la rue Botzaris et de la rue de Crimée (peut être au bar « la pelouse »). La deuxième guerre traverse son adolescence, de 10 à 15 ans. La première trace de son travail se trouve dans l'éphémère "Express Illustré", (seulement 3 numéros) en 1952 où il livre deux récits comiques : "Le chevalier Emerik" et "Peter Pat". Il a pour compagnon de publication : Mouminoux, Gérald Forton, Jean Joly, Forest et Marcouleta. À cette époque, Jean René Le Moing dessine depuis plus de 25 ans. En 1955, il illustre une histoire de l’oncle Paul (306 Fabius, scénario Joly) parue dans Spirou dont le directeur artistique est Maurice Rosy. Il ne le sait pas encore mais c’est Rosy qui, en 1977, prendra sa relève pour les vignettes Malabar. En 1956, Il travaille pour EdiFrance (société créée par René Goscinny, Jean-Michel Charlier et Jean Hebrard) comme maquettiste et dessinateur du magazine Pistolin. La rédaction de Pistolin est composée de Jean Hebrard, Albert Uderzo, Victor Hubinon, René Goscinny, Jean-Michel Charlier, Georges Langlais (Gal) et Martial. Sur la caricature de l’ensemble d’EdiFrance/EdiPresse faite par Uderzo on peut apercevoir Jean Le Moing en train de lire un livre sur le judo et mettre en pratique cette lecture ! Il illustre un livre en 1960 (l’indien aux yeux clairs) et fait surtout beaucoup de dessins publicitaires (Les briques magiques, Un autre chewing-gum : Melting Gum, Gomme Mallat, Concours journal de Tintin, Reynolds, Cartes view-master… Prismalo). Il travaille au sein de l’atelier 63 de Raymond Poïvet où il a pour collègues et amis, Roland Garel, Albert Uderzo, Gigi… et à Vaillant où il assiste Lucien Nortier sur la reprise de Lynx Blanc en 62 et 63.
Son père, sertisseur, né dans le 5e arrondissement à Paris et sa mère, bijoutière, (pupille de la nation), d’origine creusoise se sont mariés le 8 septembre 1928 dans le 11e arrondissement de Paris. Jean-René Le Moing, leur fils unique nait, et est baptisé, le 28 mai 1929 au 19b rue Chaligny, hôpital St Antoine, dans le 12e arr. Son père a 24 ans et sa mère 21 ans, ils habitent non loin de là au 5 rue de Godefroy Cavaignac (11e arr). Il grandit dans le 19e arrondissement de Paris, au 14 de la rue Mouzaia, et c’est un bon vivant qui aime retrouver ses copains des Buttes Chaumont dans un bar de l’angle de la rue Botzaris et de la rue de Crimée (peut être au bar « la pelouse »). La deuxième guerre traverse son adolescence, de 10 à 15 ans. La première trace de son travail se trouve dans l'éphémère "Express Illustré", (seulement 3 numéros) en 1952 où il livre deux récits comiques : "Le chevalier Emerik" et "Peter Pat". Il a pour compagnon de publication : Mouminoux, Gérald Forton, Jean Joly, Forest et Marcouleta. À cette époque, Jean René Le Moing dessine depuis plus de 25 ans. En 1955, il illustre une histoire de l’oncle Paul (306 Fabius, scénario Joly) parue dans Spirou dont le directeur artistique est Maurice Rosy. Il ne le sait pas encore mais c’est Rosy qui, en 1977, prendra sa relève pour les vignettes Malabar. En 1956, Il travaille pour EdiFrance (société créée par René Goscinny, Jean-Michel Charlier et Jean Hebrard) comme maquettiste et dessinateur du magazine Pistolin. La rédaction de Pistolin est composée de Jean Hebrard, Albert Uderzo, Victor Hubinon, René Goscinny, Jean-Michel Charlier, Georges Langlais (Gal) et Martial. Sur la caricature de l’ensemble d’EdiFrance/EdiPresse faite par Uderzo on peut apercevoir Jean Le Moing en train de lire un livre sur le judo et mettre en pratique cette lecture ! Il illustre un livre en 1960 (l’indien aux yeux clairs) et fait surtout beaucoup de dessins publicitaires (Les briques magiques, Un autre […]