C'est orné d'une coupe Playmobil, étrangement à la mode en ces temps reculés, qu'il passe une enfance heureuse et paisible, parfois bercé de rêves absurdes comme celui de bâtir une base secrète après la diffusion d'un Fantomas à la télévision. Il abandonne rapidement cette idée, mais ce sera désormais au travers du dessin qu'il laissera vagabonder son imagination fertile et son désir de fiction. Il achète son premier ordinateur, découvre Illustrator, l'essaie, l'apprivoise, adopte définitivement la souris immaculée de son Mac, change d'identité, et se rebaptise OXOlaterre en référence au chef d'œuvre de Stanley Kubrick "La soupe aux choux".
Texte et photo © Éditions Michel Lagarde
C'est orné d'une coupe Playmobil, étrangement à la mode en ces temps reculés, qu'il passe une enfance heureuse et paisible, parfois bercé de rêves absurdes comme celui de bâtir une base secrète après la diffusion d'un Fantomas à la télévision. Il abandonne rapidement cette idée, mais ce sera désormais au travers du dessin qu'il laissera vagabonder son imagination fertile et son désir de fiction. Il achète son premier ordinateur, découvre Illustrator, l'essaie, l'apprivoise, adopte définitivement la souris immaculée de son Mac, change d'identité, et se rebaptise OXOlaterre en référence au chef d'œuvre de Stanley Kubrick "La soupe aux choux".
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