Jean-Michel Vanweydeveldt est né en 1958 à Roubaix. Il vit dans un petit village des Flandres, près d’Hazebrouck. À 54 ans, le graphiste Jean-Michel Vanweydeveldt s'est éloigné de l'agitation lilloise pour développer son activité en zone rurale. Son truc, c'est le visuel, le logo. Les lignes de son C.V. comportent notamment les Cartonnages Vaillant, la commune de Phalempin, la fondation Casques rouges de Paris. «Je fais ça depuis mes vingt-deux ans. Je suis passé en agence, en studio, j'ai bossé en prépresse, chez un imprimeur, j'ai fait du dessin industriel », cite-t-il. Le graphiste est en pleine période de prospection, pas la partie la plus fun du métier mais une étape incontournable pour rencontrer les clients... les autres, tout simplement. « On me répond souvent que les temps sont durs mais il n'y a pas de moment idéal. Aujourd'hui, les entreprises tiennent à leur logo, elles communiquement sur Internet et beaucoup dans la presse par ici. Et puis, en parallèle, l'homme se lance dans la bande dessinée, en amateur. Après une longue pause de quinze ans, il a repris le dessin artistique. Depuis quelques années, il anime, à l’intention d’enfants et d’adultes handicapés, des ateliers de création de bande dessinée. Passionné par l’histoire de la guerre 1939-1945, il a voulu raconter, à sa manière, les derniers mois de son oncle Robert, un résistant fusillé dans la Somme… Robert 1944 est un travail de mémoire familiale mais aussi le récit de l’occupation de Roubaix et un épisode tragique de la résistance dans la région d’Amiens.
Jean-Michel Vanweydeveldt est né en 1958 à Roubaix. Il vit dans un petit village des Flandres, près d’Hazebrouck. À 54 ans, le graphiste Jean-Michel Vanweydeveldt s'est éloigné de l'agitation lilloise pour développer son activité en zone rurale. Son truc, c'est le visuel, le logo. Les lignes de son C.V. comportent notamment les Cartonnages Vaillant, la commune de Phalempin, la fondation Casques rouges de Paris. «Je fais ça depuis mes vingt-deux ans. Je suis passé en agence, en studio, j'ai bossé en prépresse, chez un imprimeur, j'ai fait du dessin industriel », cite-t-il. Le graphiste est en pleine période de prospection, pas la partie la plus fun du métier mais une étape incontournable pour rencontrer les clients... les autres, tout simplement. « On me répond souvent que les temps sont durs mais il n'y a pas de moment idéal. Aujourd'hui, les entreprises tiennent à leur logo, elles communiquement sur Internet et beaucoup dans la presse par ici. Et puis, en parallèle, l'homme se lance dans la bande dessinée, en amateur. Après une longue pause de quinze ans, il a repris le dessin artistique. Depuis quelques années, il anime, à l’intention d’enfants et d’adultes handicapés, des ateliers de création de bande dessinée. Passionné par l’histoire de la guerre 1939-1945, il a voulu raconter, à sa manière, les derniers mois de son oncle Robert, un résistant fusillé dans la Somme… Robert 1944 est un travail de mémoire familiale mais aussi le récit de l’occupation de Roubaix et un épisode tragique de la résistance dans la région d’Amiens.