Elle a quitté Nancy pour Metz. En passant par Épinal et l’École Supérieure d’Art de Lorraine, dont elle a terminé le cursus dans la cité messine. À 25 ans Zoé Thouron dessine le préambule d’une carrière presque évidente.
De père en fille. Côté dessin, la grande Zoé a de qui tenir. Quand les aficionados du Canard enchaîné, de Libé ou de Fluide glacial s'amusaient déjà des coups de crayon sociétaux de Lefred, le papa, Zoé dessinait elle aussi. Pas franchement un modèle, car pour elle, quel qu'il soit, le dessin fait très tôt partie de sa vie. Presque naturel. En tous cas, le succès paternel et les grands noms des canards dans lesquels il s'exprime, constituent un univers qui permet d'envisager encore un peu mieux les contours de sa voie professionnelle. « Évidemment, mon père m'a toujours encouragée », reconnaît celle qui ne s'attendait pas « à ce que cela vienne si vite ».
Texte © La Semaine.fr
Photo © Dargaud
Elle a quitté Nancy pour Metz. En passant par Épinal et l’École Supérieure d’Art de Lorraine, dont elle a terminé le cursus dans la cité messine. À 25 ans Zoé Thouron dessine le préambule d’une carrière presque évidente.
De père en fille. Côté dessin, la grande Zoé a de qui tenir. Quand les aficionados du Canard enchaîné, de Libé ou de Fluide glacial s'amusaient déjà des coups de crayon sociétaux de Lefred, le papa, Zoé dessinait elle aussi. Pas franchement un modèle, car pour elle, quel qu'il soit, le dessin fait très tôt partie de sa vie. Presque naturel. En tous cas, le succès paternel et les grands noms des canards dans lesquels il s'exprime, constituent un univers qui permet d'envisager encore un peu mieux les contours de sa voie professionnelle. « Évidemment, mon père m'a toujours encouragée », reconnaît celle qui ne s'attendait pas « à ce que cela vienne si vite ».
Texte © La Semaine.fr
Photo © Dargaud