C’est sur l’air de « l’Amour est un bouquet de violettes » chanté par Luis Mariano que Lionel voit le jour le 4 mars 1952 à Paris au pied de la Butte Montmartre. Sur le chemin de l’école, il use ses fonds de culottes sur les rampes des escaliers de la rue du Mont Cenis. (Sa carrière scolaire ne sera pas très brillante). En 1968, début d’une formation atypique dans les arts plastiques; Lionel répond à l’appel de la rue avec sa boîte de craies de couleurs en traçant des tableaux sur les trottoirs. Les passants sont sympas, souvent généreux. Quelques années plus tard, dans le Lot, oû il a des attaches familiales, c’est à Varaire, un village proche de St Cirq Lapopie, que Lionel construit son atelier. Il exerce une activité artisanale indépendante liée à l’argile et réalise ses premières sculptures. À la fin des années 80, sa situation familiale et le travail l’obligent à déménager. Il quitte à regret la campagne. À cette époque, il peint dans un style qui se rapproche de l’abstraction lyrique et commence un travail en taille douce utilisant principalement l’eau forte. En 92, Archie Shepp joue « Ain’t Misbehavin’ » et Lionel est content de revenir se réinstaller sur le site de St Cirq Lapopie. Anicet apparaît pour la première fois dans les illustrations de Lionel au début des années 2000. Personnage enveloppé, avec une bouille toute ronde et un gros nez, il devient rapidement son héros favori. Lionel est le créateur de « Bigousse, Citoyen du Monde », sculpture d’un genre Humanimal ; Guide de voyage sur la Route Mondiale N°1 Sans Frontières. Les sculptures, les peintures de Lionel Lefèvre ainsi que son travail à l’eau forte sont répertoriés dans de nombreux catalogues. Il participe régulièrement à des rencontres, des expositions, des salons.
Texte © Auteur
C’est sur l’air de « l’Amour est un bouquet de violettes » chanté par Luis Mariano que Lionel voit le jour le 4 mars 1952 à Paris au pied de la Butte Montmartre. Sur le chemin de l’école, il use ses fonds de culottes sur les rampes des escaliers de la rue du Mont Cenis. (Sa carrière scolaire ne sera pas très brillante). En 1968, début d’une formation atypique dans les arts plastiques; Lionel répond à l’appel de la rue avec sa boîte de craies de couleurs en traçant des tableaux sur les trottoirs. Les passants sont sympas, souvent généreux. Quelques années plus tard, dans le Lot, oû il a des attaches familiales, c’est à Varaire, un village proche de St Cirq Lapopie, que Lionel construit son atelier. Il exerce une activité artisanale indépendante liée à l’argile et réalise ses premières sculptures. À la fin des années 80, sa situation familiale et le travail l’obligent à déménager. Il quitte à regret la campagne. À cette époque, il peint dans un style qui se rapproche de l’abstraction lyrique et commence un travail en taille douce utilisant principalement l’eau forte. En 92, Archie Shepp joue « Ain’t Misbehavin’ » et Lionel est content de revenir se réinstaller sur le site de St Cirq Lapopie. Anicet apparaît pour la première fois dans les illustrations de Lionel au début des années 2000. Personnage enveloppé, avec une bouille toute ronde et un gros nez, il devient rapidement son héros favori. Lionel est le créateur de « Bigousse, Citoyen du Monde », sculpture d’un genre Humanimal ; Guide de voyage sur la Route Mondiale N°1 Sans Frontières. Les sculptures, les peintures de Lionel Lefèvre ainsi que son travail à l’eau forte sont répertoriés dans de nombreux catalogues. Il participe régulièrement à des rencontres, des expositions, des salons.
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