Philippe Colombani, né le 11 octobre 1954 à Versailles (Yvelines, France), est journaliste et dessinateur de presse français. Dans les années 1970, il collabore à Aspects de la France (Action française). En 1978, à la demande de l'auteur de romans policiers A.D.G., il intègre la rubrique littéraire de l'hebdomadaire Minute que dirige Jean Bourdier. À cette occasion, il se lie avec les écrivains Alphonse Boudard, Léo Malet, Jacques Laurent, Pierre Gripari, Pierre Monnier, Jean-Edern Hallier, Jean Raspail et les journalistes François Brigneau, Christian de la Mazière, François Lancel, Serge de Beketch, Éric Leguèbe et Hervé Le Boterf. Sous le pseudonyme d'Aramis, il illustre différents périodiques (Présent, Le Crapouillot, L'Idiot international, Valeurs actuelles, Minute-La France, Perspectives…) et publie un recueil de pastiches (Un pastiche sinon Rien, Le Flambeau). Il est également l'auteur d'une histoire de la caricature politique (Notre siècle en caricature, Éditions Atlas). Monarchiste, ami de l'historien Jean-François Chiappe, il adhère au Front national en 1986 à l'occasion de la candidature de l'avocat royaliste Georges-Paul Wagner dans les Yvelines. Élu la même année conseiller régional d'Île-de-France, il est réélu en 1992 et 1998. Membre du Bureau politique, il dirige la formation des cadres du FN. Il se voit confier la rédaction en chef du quotidien Le Français, lancé en octobre 1994 par des proches de Bruno Mégret. Le journal cessera de paraître en juin 1995. En 1998, il rompt de manière définitive avec le mouvement lepéniste et rejoint le Mouvement national républicain de Bruno Mégret. Il quitte ensuite ce parti en 2001 et siège au banc des non-inscrits de la région Île-de-France. Élu divers droite d'opposition à la mairie de Versailles en 2001, il ne se représente pas aux élections régionales de 2004. Il est ensuite administrateur du mouvement local Union pour le renouveau de Versailles (URV), dirigé par Henry de Lesquen.
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Philippe Colombani, né le 11 octobre 1954 à Versailles (Yvelines, France), est journaliste et dessinateur de presse français. Dans les années 1970, il collabore à Aspects de la France (Action française). En 1978, à la demande de l'auteur de romans policiers A.D.G., il intègre la rubrique littéraire de l'hebdomadaire Minute que dirige Jean Bourdier. À cette occasion, il se lie avec les écrivains Alphonse Boudard, Léo Malet, Jacques Laurent, Pierre Gripari, Pierre Monnier, Jean-Edern Hallier, Jean Raspail et les journalistes François Brigneau, Christian de la Mazière, François Lancel, Serge de Beketch, Éric Leguèbe et Hervé Le Boterf. Sous le pseudonyme d'Aramis, il illustre différents périodiques (Présent, Le Crapouillot, L'Idiot international, Valeurs actuelles, Minute-La France, Perspectives…) et publie un recueil de pastiches (Un pastiche sinon Rien, Le Flambeau). Il est également l'auteur d'une histoire de la caricature politique (Notre siècle en caricature, Éditions Atlas). Monarchiste, ami de l'historien Jean-François Chiappe, il adhère au Front national en 1986 à l'occasion de la candidature de l'avocat royaliste Georges-Paul Wagner dans les Yvelines. Élu la même année conseiller régional d'Île-de-France, il est réélu en 1992 et 1998. Membre du Bureau politique, il dirige la formation des cadres du FN. Il se voit confier la rédaction en chef du quotidien Le Français, lancé en octobre 1994 par des proches de Bruno Mégret. Le journal cessera de paraître en juin 1995. En 1998, il rompt de manière définitive avec le mouvement lepéniste et rejoint le Mouvement national républicain de Bruno Mégret. Il quitte ensuite ce parti en 2001 et siège au banc des non-inscrits de la région Île-de-France. Élu divers droite d'opposition à la mairie de Versailles en 2001, il ne se représente pas aux élections régionales de 2004. Il est ensuite administrateur du mouvement local Union pour le renouveau de Versailles (URV), dirigé par Henry de Lesquen.
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