Rose-Jeanne-Mathilde, sœur aînée d'Alphonse Allais, est née le 16 janvier 1853 à Honfleur. Alphonse et Mathilde eurent toujours des liens fraternels très forts. Lorsqu'il s'inscrit à l'Ecole Supérieure de Pharmacie, Mathilde accompagne son frère à Paris où elle enseigne comme institutrice libre. Elle rencontre et épouse Charles Leroy, un ami parisien d'Alphonse et rédacteur au journal "Le Tintamarre". Écrivain, elle publie sous le nom de Jeanne Leroy-Allais, dix-sept ouvrages : romans (dont deux couronnés par l'Académie Française : "Marie-Rose au couvent" et "Âmes vaillantes"), études de Morale et de Sociologie, des livres-albums pour enfants dont certains sont illustrés par Benjamin Rabier ("Chez les Bêtes," " Le Roman de Renard", " L'homme qui comprend le langage des animaux")... En 1913, Mathilde publie un livre sur son frère Alphonse : "Alphonse Allais, souvenirs d'enfance et de jeunesse ", préfacé par Alfred Capus et qu'elle dédie à : "Messieurs Tristan Bernard, Alfred Capus, Maurice Donnay, Lucien Guitry, qui furent les meilleurs et les plus fidèles amis d'Alphonse Allais".
Le 16 octobre 1914, à l'âge de 61 ans, elle meurt à Honfleur, d'une maladie de cœur.
Rose-Jeanne-Mathilde, sœur aînée d'Alphonse Allais, est née le 16 janvier 1853 à Honfleur. Alphonse et Mathilde eurent toujours des liens fraternels très forts. Lorsqu'il s'inscrit à l'Ecole Supérieure de Pharmacie, Mathilde accompagne son frère à Paris où elle enseigne comme institutrice libre. Elle rencontre et épouse Charles Leroy, un ami parisien d'Alphonse et rédacteur au journal "Le Tintamarre". Écrivain, elle publie sous le nom de Jeanne Leroy-Allais, dix-sept ouvrages : romans (dont deux couronnés par l'Académie Française : "Marie-Rose au couvent" et "Âmes vaillantes"), études de Morale et de Sociologie, des livres-albums pour enfants dont certains sont illustrés par Benjamin Rabier ("Chez les Bêtes," " Le Roman de Renard", " L'homme qui comprend le langage des animaux")... En 1913, Mathilde publie un livre sur son frère Alphonse : "Alphonse Allais, souvenirs d'enfance et de jeunesse ", préfacé par Alfred Capus et qu'elle dédie à : "Messieurs Tristan Bernard, Alfred Capus, Maurice Donnay, Lucien Guitry, qui furent les meilleurs et les plus fidèles amis d'Alphonse Allais".
Le 16 octobre 1914, à l'âge de 61 ans, elle meurt à Honfleur, d'une maladie de cœur.