Fanny Grosshans est née en 1987 à Colmar. Elle y passe les 19 premières années de sa vie dont plus ou moins 15 à proximité d’une télévision. Elle apprends à se servir de ses yeux, ses oreilles et ses mains, d’un stylo bille, d’une aiguille, une brosse, un fer à repasser et une bicyclette. En 2006, elle rentre à L’EESI d’Angoulême, où elle y passe les 5 années suivantes, dont 4 à proximité d’une teillère. Elle apprend à se servir d’une gouge, d’une plume, d’une scie circulaire, d’un briquet, d’une perceuse (mais une nette préférence pour la gouge et la plume). Elle en retient le sens critique et la pédagogie des techniciens et professeurs, le bruit de l’eau, la pierre humide et la lumière jaune. En 2013, elle va à Toulouse, pour voir à quoi ressemble une grande ville. Elle en retient l’odeur grasse autour de la gare et les ombres portées délirantes. Elle travaille essentiellement dans la micro-édition.
Fanny Grosshans est née en 1987 à Colmar. Elle y passe les 19 premières années de sa vie dont plus ou moins 15 à proximité d’une télévision. Elle apprends à se servir de ses yeux, ses oreilles et ses mains, d’un stylo bille, d’une aiguille, une brosse, un fer à repasser et une bicyclette. En 2006, elle rentre à L’EESI d’Angoulême, où elle y passe les 5 années suivantes, dont 4 à proximité d’une teillère. Elle apprend à se servir d’une gouge, d’une plume, d’une scie circulaire, d’un briquet, d’une perceuse (mais une nette préférence pour la gouge et la plume). Elle en retient le sens critique et la pédagogie des techniciens et professeurs, le bruit de l’eau, la pierre humide et la lumière jaune. En 2013, elle va à Toulouse, pour voir à quoi ressemble une grande ville. Elle en retient l’odeur grasse autour de la gare et les ombres portées délirantes. Elle travaille essentiellement dans la micro-édition.