Stéphane Blanquet est né le 15 mai 1973 à Conflans-Sainte-Honorine. Il démarre très jeune au sein du fanzine Atomik. À 16 ans, il fonde sa propre maison d'édition Chacal Puant et publie quelques pointures de la BD alternative tels que Matt Konture ou Blex Placid. En 1996, la publication de Monstrueuse regroupant plusieurs jeunes auteurs est récompensée par l'Alph'art du meilleur fanzine. Outre son activité de dessinateur, Blanquet est également illustrateur pour Libération, les Inrockuptibles ou Nova mag. Il aborde avec le même coup de patte les récits autobiographiques et les délires difformes et bizarres, pour preuve son très récent Bouquet Bonheur paru chez Cornélius, sorte de re-visite des contes de fées. En rejoignant le duo Sfar/Trondheim de gardiens de Donjon, Blanquet entre en territoire sinon conquis du moins connu. L'univers donjonesque, à la fois, délirant et cohérent, devrait nous réserver quelques belles surprises quand à l'adaptation très libre qu'il devrait en faire. À suivre de très près.
Texte © Delcourt
Stéphane Blanquet est né le 15 mai 1973 à Conflans-Sainte-Honorine. Il démarre très jeune au sein du fanzine Atomik. À 16 ans, il fonde sa propre maison d'édition Chacal Puant et publie quelques pointures de la BD alternative tels que Matt Konture ou Blex Placid. En 1996, la publication de Monstrueuse regroupant plusieurs jeunes auteurs est récompensée par l'Alph'art du meilleur fanzine. Outre son activité de dessinateur, Blanquet est également illustrateur pour Libération, les Inrockuptibles ou Nova mag. Il aborde avec le même coup de patte les récits autobiographiques et les délires difformes et bizarres, pour preuve son très récent Bouquet Bonheur paru chez Cornélius, sorte de re-visite des contes de fées. En rejoignant le duo Sfar/Trondheim de gardiens de Donjon, Blanquet entre en territoire sinon conquis du moins connu. L'univers donjonesque, à la fois, délirant et cohérent, devrait nous réserver quelques belles surprises quand à l'adaptation très libre qu'il devrait en faire. À suivre de très près.
Texte © Delcourt