Bill Harris était un scénariste et éditeur de comic books américain qui travailla dans le domaine de la bande dessinée, la publicité et la promotion jusqu'à la fin de sa vie. Il obtint son premier poste d'importance chez Dell Comics et s'engagea à fond dans son travail pour les comics de cet éditeur. Lorsqu'il fut promu à l'édition il quitta Dell pour travailler chez Warren Publishing qui confiait justement ses publications à Dell.
Chez Warren il se mit également à l'écriture et scénarisa les aventures du "Phantom" de Lee Falk.
En 1966, lorsque King Features newspaper syndicate lança sa propre édition de comics, il fut engagé comme éditeur sur les titres "Flash Gordon", "Mandrake the Magician", "The Phantom", "Blondie", "Beetle Bailey" et "Popeye". Ces éditions n'ayant pas eu le succès escompté, Harris travailla brièvement comme éditeur sur les titres "Creepy" et "Eerie" de Warren.
Harris ne s'occupa plus beaucoup de comics et travailla alors au département publicitaire du journal The New York Times.
L'une des innovations de Harris fut de faire de la publicité pour les comics dans les fanzines consacrés au sujet, cela favorisa beaucoup les ventes.
Bill Harris était un scénariste et éditeur de comic books américain qui travailla dans le domaine de la bande dessinée, la publicité et la promotion jusqu'à la fin de sa vie. Il obtint son premier poste d'importance chez Dell Comics et s'engagea à fond dans son travail pour les comics de cet éditeur. Lorsqu'il fut promu à l'édition il quitta Dell pour travailler chez Warren Publishing qui confiait justement ses publications à Dell.
Chez Warren il se mit également à l'écriture et scénarisa les aventures du "Phantom" de Lee Falk.
En 1966, lorsque King Features newspaper syndicate lança sa propre édition de comics, il fut engagé comme éditeur sur les titres "Flash Gordon", "Mandrake the Magician", "The Phantom", "Blondie", "Beetle Bailey" et "Popeye". Ces éditions n'ayant pas eu le succès escompté, Harris travailla brièvement comme éditeur sur les titres "Creepy" et "Eerie" de Warren.
Harris ne s'occupa plus beaucoup de comics et travailla alors au département publicitaire du journal The New York Times.
L'une des innovations de Harris fut de faire de la publicité pour les comics dans les fanzines consacrés au sujet, cela favorisa beaucoup les ventes.