Kotetsuko Yamamoto est une mangaka née un 4 janvier au Japon. Elle commence sa carrière de mangaka en 2001, mais son premier manga, le shonen-aï Migite ni Juu, Hidarite ni Ai, n’est sorti qu’en Mai 2003 aux éditions Gentousha après une prépublication dans le magazine Rutile Sweet. Plutôt axée sur le BL, avec dix yaoi et sept shonen-ai, elle a également réalisé des josei, shojo et shonen, bien que la plupart aient été écrits par d’autres mangakas. C'est une mangaka que l’on reconnait très bien par son style graphique mignon mais parfois assez enfantin. Du coup, il lui est difficile de faire des œuvres aux scénarios très sérieux ou aux personnages matures et virils. Ses mangas sont donc essentiellement de genre school life ou slice of life et pleins de romance et de comédie. Mais elle a su également créer des histoires où l’horreur, la psychologie et le surnaturel sont maîtres. Bien que ses mangas n’aient jamais été adaptés sous un quelconque autre format, ils se retrouvent facilement en top des ventes et six d’entre eux sont déjà licenciés aux États-Unis. Elle a aussi réalisé quelques illustrations pour des romans BL.
Texte © Nautiljon
Kotetsuko Yamamoto est une mangaka née un 4 janvier au Japon. Elle commence sa carrière de mangaka en 2001, mais son premier manga, le shonen-aï Migite ni Juu, Hidarite ni Ai, n’est sorti qu’en Mai 2003 aux éditions Gentousha après une prépublication dans le magazine Rutile Sweet. Plutôt axée sur le BL, avec dix yaoi et sept shonen-ai, elle a également réalisé des josei, shojo et shonen, bien que la plupart aient été écrits par d’autres mangakas. C'est une mangaka que l’on reconnait très bien par son style graphique mignon mais parfois assez enfantin. Du coup, il lui est difficile de faire des œuvres aux scénarios très sérieux ou aux personnages matures et virils. Ses mangas sont donc essentiellement de genre school life ou slice of life et pleins de romance et de comédie. Mais elle a su également créer des histoires où l’horreur, la psychologie et le surnaturel sont maîtres. Bien que ses mangas n’aient jamais été adaptés sous un quelconque autre format, ils se retrouvent facilement en top des ventes et six d’entre eux sont déjà licenciés aux États-Unis. Elle a aussi réalisé quelques illustrations pour des romans BL.
Texte © Nautiljon