Né à Saint-Brieuc en 1981, Jérémy Le Corvaisier obtient quelques années plus tard un BAC Arts Appliqués à Tréguier, passe par les Beaux Arts de Rennes puis par un BTS stylisme de mode à Nîmes où il fait tout sauf de la mode. À la recherche d’un projet professionnel audacieux, Jérémy se lance dans la broderie de coussins, persuadé que son idée lui rapportera beaucoup d’argent. Certains de ses modèles sont édités par Pépin Le Malin. Malgré cela, son niveau de vie reste médiocre. Jérémy s’engage ensuite dans la vidéo, filme tout et n’importe quoi, puis affine progressivement ses scénarios et compose ses propres bandes sons. Il accouche ainsi d’une vingtaine de courts et d’un moyen-métrage intitulé "1979-2019". Parallèlement, il collabore avec la compagnie de théâtre Le Joli Collectif pour laquelle il réalise des captations de pièces, des bandes annonces et des photos. En dépit de ses efforts, Jérémy ne peut toujours pas mettre un euro sur son PEL et doit trouver un travail qui rapporte. Ambitieux, il suit une formation d’hôte de caisse à la CCI de Lyon. Le diplôme en poche, il enchaîne les postes dans tout les types de supermarchés (cash and carry, spécialiste du surgelé, cinéma multiplex…). Plein aux as, Jérémy s’enfuit un temps au Canada pour finalement revenir s’échouer dans sa ville natale. Fatigué de tout, il décide de reprendre les fondamentaux et s’attelle au dessin. Il produit de façon frénétique et rapidement coopère avec le magazine Les Inrockuptibles pour qui il illustre plusieurs articles. Désireux d’un retour à la narration, Jérémy s’inspire de ses expériences dans la grande distribution pour réaliser sa première bande dessinée Fastermarket. Aujourd’hui Jérémy vit et travaille à Rennes.
Texte © Les Enfants Rouges
Né à Saint-Brieuc en 1981, Jérémy Le Corvaisier obtient quelques années plus tard un BAC Arts Appliqués à Tréguier, passe par les Beaux Arts de Rennes puis par un BTS stylisme de mode à Nîmes où il fait tout sauf de la mode. À la recherche d’un projet professionnel audacieux, Jérémy se lance dans la broderie de coussins, persuadé que son idée lui rapportera beaucoup d’argent. Certains de ses modèles sont édités par Pépin Le Malin. Malgré cela, son niveau de vie reste médiocre. Jérémy s’engage ensuite dans la vidéo, filme tout et n’importe quoi, puis affine progressivement ses scénarios et compose ses propres bandes sons. Il accouche ainsi d’une vingtaine de courts et d’un moyen-métrage intitulé "1979-2019". Parallèlement, il collabore avec la compagnie de théâtre Le Joli Collectif pour laquelle il réalise des captations de pièces, des bandes annonces et des photos. En dépit de ses efforts, Jérémy ne peut toujours pas mettre un euro sur son PEL et doit trouver un travail qui rapporte. Ambitieux, il suit une formation d’hôte de caisse à la CCI de Lyon. Le diplôme en poche, il enchaîne les postes dans tout les types de supermarchés (cash and carry, spécialiste du surgelé, cinéma multiplex…). Plein aux as, Jérémy s’enfuit un temps au Canada pour finalement revenir s’échouer dans sa ville natale. Fatigué de tout, il décide de reprendre les fondamentaux et s’attelle au dessin. Il produit de façon frénétique et rapidement coopère avec le magazine Les Inrockuptibles pour qui il illustre plusieurs articles. Désireux d’un retour à la narration, Jérémy s’inspire de ses expériences dans la grande distribution pour réaliser sa première bande dessinée Fastermarket. Aujourd’hui Jérémy vit et travaille à Rennes.
Texte © Les Enfants Rouges