Dès l’enfance, Boris Hurtel fut nourri à base de Pif, de Tintin, de Spirou, de Gai Luron et de Mickey Parade. Pour faire plaisir à sa mère, il fit un crochet par des études de philosophie, puis dans un acte de révolte, il se mit en tête de réaliser des films de vacances métaphysiques en super-8. Enfin à partir de 1998, il revint à sa passion d’enfance qu’il n’a pas quittée depuis. Avec plusieurs amis, il fonde l’association Une Autre Image qui édite en 2005 sa première BD Le temps d’Orta – sur la vie de Nietzsche - puis à partir de 2006, la revue Dérive Urbaine. Il rencontre les membres de The Hoochie Coochie en 2008 et collabore depuis régulièrement aux deux revues : DMPP et Turkey Comix. Il participe également depuis 2011 à la revue de cinéma CUT pour laquelle il réalise des chroniques cinématographiques en BD. Prisonnier des amazones est son premier roman graphique.
Texte © The Hoochie Coochie
Dès l’enfance, Boris Hurtel fut nourri à base de Pif, de Tintin, de Spirou, de Gai Luron et de Mickey Parade. Pour faire plaisir à sa mère, il fit un crochet par des études de philosophie, puis dans un acte de révolte, il se mit en tête de réaliser des films de vacances métaphysiques en super-8. Enfin à partir de 1998, il revint à sa passion d’enfance qu’il n’a pas quittée depuis. Avec plusieurs amis, il fonde l’association Une Autre Image qui édite en 2005 sa première BD Le temps d’Orta – sur la vie de Nietzsche - puis à partir de 2006, la revue Dérive Urbaine. Il rencontre les membres de The Hoochie Coochie en 2008 et collabore depuis régulièrement aux deux revues : DMPP et Turkey Comix. Il participe également depuis 2011 à la revue de cinéma CUT pour laquelle il réalise des chroniques cinématographiques en BD. Prisonnier des amazones est son premier roman graphique.
Texte © The Hoochie Coochie