Né en 1971, juste en prémices du printemps, Mathieu Breda aime l’Histoire et les histoires. Il affectionne aussi les chats, le cassoulet et le port de la barbe. Diplômé de l’école des Gobelins à Paris, il travaille depuis de nombreuses années comme story-boarder, principalement dans l’industrie du jeu vidéo. Comme il aime autant raconter que dessiner, poussé par son ami Marc Jailloux, il se lance avec lui dans un projet commun autour du personnage d’Alix. « Participer à une série que je lisais étant enfant m’a semblé un excellent moyen de rajeunir un bon coup ! ». Il délaisse donc, un temps, ses crayons pour taper laborieusement des scenarios sur son clavier et en 2014, les deux compères publient Britannia, 33e volet des aventures d’Alix. Ils poursuivent avec Par-delà le Styx (2015) et Le Serment du gladiateur (2017). Même si son activité de scénariste reste marginale, il l’apprécie beaucoup et espère que ses histoires emmènent un peu ses lecteurs en voyage, le temps d’un album. Parce que finalement, c’est bien pour eux qu’il triture sa boite à méninges !
Né en 1971, juste en prémices du printemps, Mathieu Breda aime l’Histoire et les histoires. Il affectionne aussi les chats, le cassoulet et le port de la barbe. Diplômé de l’école des Gobelins à Paris, il travaille depuis de nombreuses années comme story-boarder, principalement dans l’industrie du jeu vidéo. Comme il aime autant raconter que dessiner, poussé par son ami Marc Jailloux, il se lance avec lui dans un projet commun autour du personnage d’Alix. « Participer à une série que je lisais étant enfant m’a semblé un excellent moyen de rajeunir un bon coup ! ». Il délaisse donc, un temps, ses crayons pour taper laborieusement des scenarios sur son clavier et en 2014, les deux compères publient Britannia, 33e volet des aventures d’Alix. Ils poursuivent avec Par-delà le Styx (2015) et Le Serment du gladiateur (2017). Même si son activité de scénariste reste marginale, il l’apprécie beaucoup et espère que ses histoires emmènent un peu ses lecteurs en voyage, le temps d’un album. Parce que finalement, c’est bien pour eux qu’il triture sa boite à méninges !