Marie-Pier Elie est née à Montréal et a grandi dans plusieurs recoins du Québec, ce qui lui a permis de découvrir et d'apprécier aussi bien la poutine de Drummondville que les bleuets d'Alma. Après des études collégiales en sciences et un baccalauréat en communications, profil journalisme, elle n’arrivait pas à choisir entre la rigueur scientifique et le plaisir de communiquer. Elle a donc fusionné les deux. Passionnée de matière sombre et lumineuse, de terminaisons et ramifications nerveuses, de grands enjeux et de questions niaiseuses – qui ne le sont jamais vraiment à ses yeux -, elle sonde avec le même enthousiasme la vie cachée des étoiles de mer, l’éreintante course du spermatozoïde ou le destin de l’univers.?Collaboratrice régulière des magazines Québec Science et La Recherche, ses reportages ont été maintes fois récompensés, tant aux National Magazine Awards qu’à l’Association québécoise des éditeurs de magazines, où elle a en outre remporté en 2006 le prestigieux prix Jean Paré, remis au journaliste de l’année. Elle a également reçu, en 2011, le Prix Varenne de l'information scientifique, à Paris, ainsi que le prix Raymond-Charette, attribué par le Conseil supérieur de la langue française à un professionnel des médias de la presse électronique québécoise pour sa contribution exemplaire à la diffusion d'un français de qualité.
Marie-Pier Elie est née à Montréal et a grandi dans plusieurs recoins du Québec, ce qui lui a permis de découvrir et d'apprécier aussi bien la poutine de Drummondville que les bleuets d'Alma. Après des études collégiales en sciences et un baccalauréat en communications, profil journalisme, elle n’arrivait pas à choisir entre la rigueur scientifique et le plaisir de communiquer. Elle a donc fusionné les deux. Passionnée de matière sombre et lumineuse, de terminaisons et ramifications nerveuses, de grands enjeux et de questions niaiseuses – qui ne le sont jamais vraiment à ses yeux -, elle sonde avec le même enthousiasme la vie cachée des étoiles de mer, l’éreintante course du spermatozoïde ou le destin de l’univers.?Collaboratrice régulière des magazines Québec Science et La Recherche, ses reportages ont été maintes fois récompensés, tant aux National Magazine Awards qu’à l’Association québécoise des éditeurs de magazines, où elle a en outre remporté en 2006 le prestigieux prix Jean Paré, remis au journaliste de l’année. Elle a également reçu, en 2011, le Prix Varenne de l'information scientifique, à Paris, ainsi que le prix Raymond-Charette, attribué par le Conseil supérieur de la langue française à un professionnel des médias de la presse électronique québécoise pour sa contribution exemplaire à la diffusion d'un français de qualité.