Né le 23 avril 1954 à Montauban (82), bachelier en juillet 1972, reçu à l’École nationale des Chartes en juin 1974. Nommé archiviste-paléographe en avril 1978, après un service militaire de septembre 1978 à janvier 1980 comme « Scientifique du contingent » au Musée de l’Armée à Paris, affecté à la Bibliothèque nationale comme conservateur au Service de l’Histoire de France de février 1980 à août 1991. Élu Maître de conférences en Histoire contemporaine au printemps 1991, je suis désormais enseignant-chercheur à l’Université Paul-Valéry – Montpellier-III, d’abord comme Maître de conférences, de septembre 1991 à août 1998, puis comme professeur des Universités, depuis septembre 1998. En décembre 1982, je soutiens à l’IRHT, sous la direction du professeur Jean Glénisson, une thèse de Doctorat de troisième cycle, devant un jury composé de Jacques Le Goff (EHSS), Charles-Olivier Carbonell (Université Paul Valéry – Montpellier-III) et Jean Glénisson, directeur de l’IRHT : « L’image d’Etienne Marcel dans l’historiographie, la littérature et l’art en France, de Danton à François Mitterrand ». Le 22 décembre 1994, je soutiens, à l’Université Paul Valéry – Montpellier-III, devant un jury composé de Maurice Agulhon, professeur au Collège de France, Charles-Olivier Carbonell, professeur à Montpellier-III, Gérard Cholvy, professeur à Montpellier-III, Alain Corbin, professeur à Paris-I, Gerd Krumeich, professeur à l’Université de Düsseldorf et Alain Chante, maître de conférences à Montpellier-III, une thèse de Doctorat d’Etat, « L’Histoire pour tous : la vulgarisation historique en France d’Augustin Thierry à Ernest Lavisse (1814-1914) », qui a obtenu la mention « Très honorable », avec les félicitations à l’unanimité. Élève d’Henri-Jean Martin pour l’histoire du livre et de Charles-Olivier Carbonell pour l’histoire de l’historiographie, on peut considérer que mes principaux thèmes de recherche depuis ma thèse de troisième cycle, soutenue il y a un peu plus de vingt-cinq ans, relèvent d’une Histoire culturelle très ouverte, telle que la définit Pascal Ory, « un ensemble de représentations collectives propres à une société » (L’Histoire culturelle, Paris, PUF, 2004, p. 8). A l’intérieur de cette vaste problématique, je travaille plus particulièrement sur la place de la culture historique dans la société française contemporaine, ses principaux canaux de diffusion et de circulation sociales. Pour tenter d’évaluer son poids en France à l’époque contemporaine, je me suis orienté dans trois directions complémentaires : l’histoire de l’historiographie ; l’histoire du livre dans tous ses états (ouvrages savants ; manuels scolaires et livres de vulgarisation confessionnelle et laïque ; sociologie de la lecture) ; enfin la connaissance des différents niveaux d’iconographie, depuis les oeuvres d’art, par nature uniques, jusqu’à leur reproduction populaire et scolaire à l’époque contemporaine, qui relève souvent de la production industrielle. Ces différentes orientations se retrouvent dans mes travaux les plus importants publiés depuis 1998.
Né le 23 avril 1954 à Montauban (82), bachelier en juillet 1972, reçu à l’École nationale des Chartes en juin 1974. Nommé archiviste-paléographe en avril 1978, après un service militaire de septembre 1978 à janvier 1980 comme « Scientifique du contingent » au Musée de l’Armée à Paris, affecté à la Bibliothèque nationale comme conservateur au Service de l’Histoire de France de février 1980 à août 1991. Élu Maître de conférences en Histoire contemporaine au printemps 1991, je suis désormais enseignant-chercheur à l’Université Paul-Valéry – Montpellier-III, d’abord comme Maître de conférences, de septembre 1991 à août 1998, puis comme professeur des Universités, depuis septembre 1998. En décembre 1982, je soutiens à l’IRHT, sous la direction du professeur Jean Glénisson, une thèse de Doctorat de troisième cycle, devant un jury composé de Jacques Le Goff (EHSS), Charles-Olivier Carbonell (Université Paul Valéry – Montpellier-III) et Jean Glénisson, directeur de l’IRHT : « L’image d’Etienne Marcel dans l’historiographie, la littérature et l’art en France, de Danton à François Mitterrand ». Le 22 décembre 1994, je soutiens, à l’Université Paul Valéry – Montpellier-III, devant un jury composé de Maurice Agulhon, professeur au Collège de France, Charles-Olivier Carbonell, professeur à Montpellier-III, Gérard Cholvy, professeur à Montpellier-III, Alain Corbin, professeur à Paris-I, Gerd Krumeich, professeur à l’Université de Düsseldorf et Alain Chante, maître de conférences à Montpellier-III, une thèse de Doctorat d’Etat, « L’Histoire pour tous : la vulgarisation historique en France d’Augustin Thierry à Ernest Lavisse (1814-1914) », qui a obtenu la mention « Très honorable », avec les félicitations à l’unanimité. Élève d’Henri-Jean Martin pour l’histoire du livre et de Charles-Olivier Carbonell pour l’histoire de l’historiographie, on peut considérer que mes principaux thèmes de recherche depuis ma thèse de troisième cycle, soutenue il y a un peu plus de vingt-cinq ans, relèvent […]