Né à Paris en 1971, Ralph Meyer nourrit très jeune une passion pour le dessin et les histoires. C’est donc tout naturellement qu’il va se tourner vers la bande dessinée. Jeune lecteur boulimique, les gags de Gaston ou les aventures de Blake et Mortimer l’enchantent tout autant que les problèmes existentielles de super-héros en collants peuplant la revue Strange. À l’adolescence, la découverte de l’œuvre de Giraud/Moebius va avoir une influence considérable sur la suite de son travail. À vingt ans, il quitte Paris et part en Belgique suivre les cours d’illustration et de bande dessinée de l’institut liégeois « St Luc ». À l’issue de ce cursus de trois ans, il démarche auprès d’éditeurs avec différents projets. Sans succès. En 1996, il décide de présenter son travail au scénariste Philippe Tome. Ce dernier lui propose une histoire particulièrement noire. Un an plus tard, c’est la parution du premier volume de la trilogie « Berceuse assassine ». Entre-temps, il fonde avec d’autres auteurs l’atelier « Parfois j'ai dur ». C’est là que naît l’album « Des lendemains sans nuages » qu’il co-dessine avec son compère Bruno Gazzotti sur un scénario de Fabien Vehlmann. Par la suite, toujours avec Fabien Vehlmann, il lance une série de science-fiction « Ian » qui narre les aventures d’une intelligence artificielle recouverte de nerfs et de peau humaine. En 2008, il signe avec Xavier Dorison le premier volume de la collection « XIII Mystery » narrant la vie de la Mangouste pour lequel il recevra la prix bruxellois « St Michel » du dessin. 2010, lui voit prendre un tournant graphique important avec la sortie de « Page noire », un one-shot scénarisé par Denis Lapière et Frank Giroud. Ralph Meyer vit à Liège avec sa famille et son chat « Microbe ».
Texte et photo © Dargaud
Né à Paris en 1971, Ralph Meyer nourrit très jeune une passion pour le dessin et les histoires. C’est donc tout naturellement qu’il va se tourner vers la bande dessinée. Jeune lecteur boulimique, les gags de Gaston ou les aventures de Blake et Mortimer l’enchantent tout autant que les problèmes existentielles de super-héros en collants peuplant la revue Strange. À l’adolescence, la découverte de l’œuvre de Giraud/Moebius va avoir une influence considérable sur la suite de son travail. À vingt ans, il quitte Paris et part en Belgique suivre les cours d’illustration et de bande dessinée de l’institut liégeois « St Luc ». À l’issue de ce cursus de trois ans, il démarche auprès d’éditeurs avec différents projets. Sans succès. En 1996, il décide de présenter son travail au scénariste Philippe Tome. Ce dernier lui propose une histoire particulièrement noire. Un an plus tard, c’est la parution du premier volume de la trilogie « Berceuse assassine ». Entre-temps, il fonde avec d’autres auteurs l’atelier « Parfois j'ai dur ». C’est là que naît l’album « Des lendemains sans nuages » qu’il co-dessine avec son compère Bruno Gazzotti sur un scénario de Fabien Vehlmann. Par la suite, toujours avec Fabien Vehlmann, il lance une série de science-fiction « Ian » qui narre les aventures d’une intelligence artificielle recouverte de nerfs et de peau humaine. En 2008, il signe avec Xavier Dorison le premier volume de la collection « XIII Mystery » narrant la vie de la Mangouste pour lequel il recevra la prix bruxellois « St Michel » du dessin. 2010, lui voit prendre un tournant graphique important avec la sortie de « Page noire », un one-shot scénarisé par Denis Lapière et Frank Giroud. Ralph Meyer vit à Liège avec sa famille et son chat « Microbe ».
Texte et photo © Dargaud